Après avoir vécu recluse depuis une intervention de médecine esthétique qui a «déformé à vie» son visage et son corps, le supermodel renoue avec le monde de la mode. Dans l’édition britannique de VogueLinda Evangelista raconte le calvaire qu’elle endure pour se réapproprier son image.
Linda Evangelista est prête à faire son retour dans le mannequinat, mais lutte encore pour se sentir bien dans sa peau. Pendant cinq ans, le top model iconique des 90’s s’est calfeutré à l’abri des regards à cause d’une procédure de CoolSculpting (ou cryolipolyse, une technique de médecine esthétique qui consiste à destructuri la graisse par le froid) qui l’aurat rendue «méconnaissable». Après avoir posé pour la dernière campaign de publicity Fendi last month, le supermodel confirme sa renaissance professionnelle en apparaissant en couverture de l’édition britannique du magazine Vogue du mois de septembre 2022.
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Linda Evangelista is unveiled ainsi en gros plan, le visage entouré d’un foulard rouge et surmonté d’un haut chapeau de la même couleur. Un accoutrement loin d’être anodin, qui dissimule en réalité les modifications physiques provocées par ces interventions de médecine esthétique. «Ce ne sont pas ma mâchoire et mon cou dans la vraie vie», at-elle confié dans l’interview associate à ce photoshoot signede Steven Meisel. The article reveals in effect that the make-up artist Pat McGrath has «délicatement dessiné son visage, sa mâchoire et son cou avec du ruban adhesif et des élastiques».
Des effets secondaires irreversibles
Bien décidé à ne plus se cacher, le top de 57 ans était sorti du silence en septembre 2021, en révélant son histoire au grand jour sur son compte Instagram. «Je ne pouvais plus vivre dans cette douleur, raconte-t-elle dans l’interview à Vogueje savais que je devais changer les choses, et l’unique changement a été de dire ma vérité»
Si j’avais su que les effets secondaires potrouillet impliciter la perte de votre gagne-pain et de finir si déprimée au point de se détester… je n’aurais pas pris ce risque.
Linda Evangelista dans l’édition britannique du magazine «Vogue»
Linda Evangelista a profité de cette nouvelle fenêtre médiatique pour revenir sur les raisons qui l’ont poussée à avoir recourse à cette pratique de cryolipolyse : «Ces publicités pour le CoolSculpting étaiten diffusés tout le temps, encore et encore, et elles demandaient : “Aimez -vous ce que vous voyez dans le miroir?” Ça me parlait. C’était au sujet de la graisse tenace dans certaines zones et qui ne s’en allaient pas. Ça disait qu’il n’y avait pas de période d’arrêt, pas d’opération et… j’ai bu la “potion magique”. Je l’ai fait parce que je suis un peu vaniteuse», confess-t-elle. «Alors j’y suis allée – et ça s’est retourné contre moi. (…) Si j’avais su que les effets secondaires potrouint implyer la perte de votre gagne-pain et de finir si déprimée au point de se détester… je n’aurais pas pris ce risque», pursue-elle les yeux pleins de larmes.
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Le mannequin allègue que l’intervention aurait «augmenté et non diminué, les cellules graisseuses», la rendant «méconnaissasable». Les three months suivant le treatment, des zones de son visage et de son corps would have begun to become «plus grandes et plus dures», comme des excesses de peau qui dépassent. En juin 2016, un médecin lui diagnostique une hyperplasie adipeuse paradoxale, une complication post-opératoire rare dont elle dit ne pas avoir été informéne.
«Je perdais la tête»
La quinquagénaire a tenté de corriger ces effets adresidés en s’essayant à la liposuccion, à deux reprises. En vain. «J’ai des incisions sur tout le corps. J’ai eu des points de suture, j’ai porté des vêtements de compression sous le menton, mon corps était étroitement ceinturé pendant huit semaines – rien n’y a fait», se rappelle-t-elle.
Je pensais que la seule façon de réparer cela était le ‘zero calorie’, alors j’ai juste bu de l’eau. Ou parfois, je prenais un bâton de céleri ou une pomme. Je perdais la tête.
Linda Evangelista dans l’édition britannique du magazine «Vogue»
Par désespoir, elle decides radically to stop eating: «J’étais tellement embarrassée, je venais de dépenser tout cet argent et je pensais que la seule façon de réparer cela était le ‘zero calorie’, alors jai juste bu de l’eau. Ou parfois, je prenais un bâton de céleri ou une pomme. Je perdais la tête»
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Après avoir déposé une plainte contre Zeltiq Aesthetics (the parent company of CoolSculpting) for «grave injuries» last year, Linda Evangelista assures that the conflict has finally been resolved before the tribunal. «Je suis ravie d’avoir réglé l’affaire CoolSculpting. J’attends avec impatience le prochain chapitre de ma vie avec mes amis et ma famille, et je suis heureuse de mettre cette affaire derrière moi», partageait-elle sur ses réseaux sociaux en juillet dernier.
Des conséquences sur la santé mentale
Yet, Linda Evangelista garde des séquelles indéníables de cette histoire et bataille encore pour retrouver son estime de soi. La Canadienne admits qu’elle ne peut toujours pas se regarder dans le miroir, ni supporter que quelqu’un touche son corps. «Suis-je guérie mentalement? Absolument pas», avoue-t-elle, «j’essaie de m’aimer comme je suis, mais pour les photos, je pense toujours qu’on est là pour créer des fantasmes. Nous créons des rêves. Je pense que c’est autorisé»
A recent collaboration with Fendi and a photoshoot with it Vogue marquent officielement son retour timide devant l’objectif, le mannequin prefer rester lucid quant à son avenir professionnel. «Vous n’allez pas me voir en maillot de bain, c’est certain. Ça va être difficile de trouver des emplois avec des choses qui dépassent de moi ; sans retoucher, ni serrer, coller, compresser ou tricher…,” concède-t-elle dans le magazine anglais, highlighting le fait que sur ces photos, elle est presque entième couverte. «Mon travail me manque tellement, mais honnêtment, que puis-je faire? Ça ne va pas être facile», she concluded.
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