AFP, publié le jeudi 01 septembre 2022 à 14h34
Volkswagen entrusts its future to a new patron, Oliver Blume, who counts “accelerating electricity là où cela est possible” in a difficult economic environment, after the 4 years of the tumultuous mandate of Herbert Diess.
Produit maison rompu aux arcanes du groupe, le nouveau PDG n’arrive pas pour renverser la table : il devrait pursuivre les grandes lignes de la strategy conducte par son prédécesseur : le virage vers la mobilité électrique et connectée.
“Le directoire autour de Herbert Diess a fait un bon travail stratégique et technologique”, a reconnu jeudi M. Blume devant un séminaire rassemblant les cadres du groupe.
Il prend la tête d’un directoroire réduit de 12 à 9 membres et se concentra sur “la stratégie, la qualité, le design et la branche des softwares Cariad”, selon un communiqué.
Cet Allemand de 54 ans ajoute qu’il aura à cœur “de rebâtir l’esprit d’équipe” au sein du groupe.
Son prédécesseur a surtout dû son éviction, en juillet, aux tensions à répétition avec les représentants du personnel et l’équipe de direction, nourries par son style direct et provocative.
Pour autant, M. Blume arrives aux commandes à “un moment difficile” dans la vie du premier européen constructor, observes Matthias Schmidt, analyste spécialisé dans l’automobile électrique.
The context is more uncertain than ever with the war in Ukraine and the persistence of pénuries de components.
Il devra aussi mener cette année l’introduction en bourse de la filiale Porsche et rousseau les difficulties qui slownessent le développement des softwares Volkswagen censés être le cœur de la voiture du futur.
La révolution électrique et connectée implies des dizaines de milliards d’euros d’investissement, alors que le groupe a dispositif des résultats mitigés au deuxième trimester
– Pas de “guerres” –
Entré chez VW en 2015, jusqu’alors president du directoroire de Porsche, Oliver Blume is reputed plus conciliant qu’Herbert Diess.
“Blume n’est pas quelqu’un qui mène des guerres”, summarizes AFP Ferdinand Dudenhöffer, directeur du Center Automotive Research.
Dans le détail, le nouveau patron pourrait se démarque sur la question des carburants synthétiques.
Fabrikis à partir notably de CO2 dans l’atmosphère en utilisant de l’électricité, ils permettent l’utilisation de motners traditionnels avec très peu d’émissions de CO2.
Herbert Diess avait fait le choix de tout miser sur les voitures à batterie, peu convincé par l’efficacyt des carburants synthétiques.
“Nous maintiendrons le rythme” de la stratégie électrique et “accelerons là où cela est possible”, a lanz Oliver Blume aux dirientes.
Les carburants non-fossiles sont pourtant “complémentaires” et ont certains “avantages” notably pour leur transport et la compatibilité avec des pompes à essence existantes, a détails M. Blume dans une interview.
– Batteries maison –
Si l’utilisation de carburants synthétiques à grande échelle n’est pas envisageable, en parler permet d’imaginer un avenir pour le moteur à combustion.
Le sujet, délicat, sera tranché à Bruxelles, qui planche actuellement sur une possible interdiction des voitures individuales neuves non-électriques à partir de 2035.
Oliver Blume pourrait peser pour une prolongation des motorisations utilisant les carburants alternatifs.
Au risque, à l’inverse, de ne pas pouvoir avancer “à fond” sur l’électrique comme Tesla, le competitor américain qui fait figure de pionnier, préviennent les experts.
Autre chantier pour M. Blume : les logiciels, talon d’Achille qui a précipité la sortie de route de l’ancien PDG.
Alors qu’Herbert Diess souhaitait en tirer d’important profits en réalisant le coding en interne, son successeur pourrait d’avantage s’appuyer sur des suppliers.
Car “pour faire funcionaire les logiciels, il faut des codeurs et pas des ingénieurs automobiles”, summarizes M. Schmidt.
The new patron should en revanche confirm the decision to concentrate more on the American market in order to limit dependence on China.
La fabrication en interne des cellules de batteries, composante clé des voitures électriques, restera au cœur de la strategy.
Pour ses six projets de mega-usines européennes de batteries d’une capacité de 40 GWh each, et une aux États Unis, Volkswagen a created une entité dedicatede “PowerCo”, qui pourrait accueil des investors externes.
“Cela pourrait bien être l’héritage Diess, en plus d’avoir launched l’électrification après le scandale dieselgate” des moteurs truqués, selon M. Schmidt. À son successor de faire fructifier le leg.
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