c’est bien la claque next gen’ promise, mais…

Bright Memory InfiniteAvant tout, commençons par remitter un peu d’ordre dans les différences versions de la “saga”. Bright Memory Infinite is not pas Bright Memory, qui lui, par contre, est également connu sous le nom de Bright Memory : Episode 1. Certains joueurs parlent de ce premier jet comme d’une démo de Bright Memory Infinite, tandis que d’ autres considerant qu’il s’agit de deux jeux qui se surivan. La vérité est un peu un mélange de tout cela, et ce n’est pas pour rien que Bright Memory Infinite ne s’appelle finalement pas Bright Memory : Episode 2. Les deux titres use les mêmes personnages principaux, plus ou moins les mêmes enemies , et deux systèmes de combats très proches, mais les niveaux et le scénario différent totalement. C’est une bonne nouvelle pour tout le monde, puisque ceux qui possédent déjà Bright Memory ne subiront aucun effet de redite, tandis que les autres poignant entamer leur périple avec ce “second volet” (qui n’en est pas vraiment un, donc ) sans avoir l’impression de prendre le train en marche. A toutes fins utiles, rappelons à ces derniers que Bright Memory se boucle en trente à quarante-cinq minutes (oui, vous avez bien lu), et qu’ils ne loupent donc de toutes manières pas grand-chose. Le scénario de Bright Memory Infinite se suffit d’autant plus à lui-même qu’il tient sur un timbre-poste et que l’univers n’est jamais approfondi par le développeur. Vous incarnez Shelia Tan, membre du SRO (dont vous apprendrez seulement via un écran de chargement qu’il s’agit d’une “Supernatural Science Research Organization”). Une mystérieuse tempête s’est déclenchée près de votre ville, vous vous rendez sur les lieux, et constatez alors qu’un gigantesque trou noir a fait son apparition et que des soldiers belonging to une organization concurrente (dont he ne saura jamais rien) sont déjà sur place. Un partenaire, un supérieur et un antagoniste font plus ou moins leur apparition dans des cinématiques, mais tout cela n’apporte aucune information concrète. Bref, le scénario est un vague pretexte à la castagne, et rien de plus.

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SHADOW WARRIOR

Bright Memory InfiniteCette légèreté scénaristique pourrait être un gros défaut ailleurs, mais elle passe plutôt bien ici. Le jeu donne la priority à l’action et se vendique clementique de la lignée des fast FPS. Le gameplay rappelle plus particulier les récentes Shadow Warrior, puisque notre héroïne manie aussi bien les flingues que le katana. Appelé lumi-lame, ce dernier lui permet tout à la fois de parer les attaques, de taillader les ennemis au contact et de projeter des lumières tranchantes. Son exo-bras sert à quant à lui à balancer des impulsions électromagnetiques et à attracter les ennemis vers elle. Et les quatre armes disponibles se concentrent sur les fundamentals (pistole, fusil mitrailleur, fusil à pompe, fusil sniper) tout en proposant plusieurs types de munitions spéciales. Add a small system of technical improvements to everything, and you will get a nervous and very enjoyable gameplay. Esquiver rapidement (c’est primordial face aux bosses), projeter les ennemis dans les airs, levitaire à force de les ruer de coups de katana, courir le long de certains murs ou se propulser vers quelques points d’ancrage prédéfinis grâce à un grappin sont autant de mouvements possibles. Le jeu maîtrise parfaitement son sujet, et il n’y a que lorsqu’il s’éloigne de ce cœur de gameplay que les choses se corsent. Fortunately, the whole cantonne à deux séquences précis : un niveau dedicated à de l’infiltration basic, et une shorte séquence en voiture à la maniabilité disputable. En revanche, ne comptez pas sur nous pour reprocher au jeu sa linéarité, pourtant bien réelle. Des niveaux plus ouverts auraitan certainly nuit au rythme, qui est ici effréné et dénué de tout temps mort. Sans comptez que, he ne le répétera jamais assez, un développeur seul est à la barre ! Zeng Xiancheng a été épaulé par des musicians et des acteurs pour l’aspect sonore, mais tout ce qui concerne la conception et la programmation sont only de son fait.

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VISUELLMENT IRRÉEL

Bright Memory InfiniteDès lors, he peut se demander comment le bougre a réussi à sortir des graphismes aussi avancés. The answer is: using assets from the Unreal Market. Mais cela n’enlève rien à la qualité finale du produit. L’effet next-gen est bel et bien là, supporté par des textures photogrammetrics réalistes, une végétion qui n’a de cesse de se balancer sous les bourrasques de vent, et des refletes en raytracing qui sont loin d’être anecdotiques puisque la plupart des décors proposent des étendues d’eau. Les armures des soldats brillent comme un sou neuf, les gouttes d’eau viennent se coller à l’écran, le ciel est à la fois charged et lumineux, et de nombreux effets speciales (deformations, slownesses, particules…) viennent reinforcer tout cela . Bref, he en prend plein les yeux. Et si la direction artistice techno-futuriste peut se montrer assez generic par moments, elle évite tout de même de véritablement tomber dans ce piège, grâce à l’influence chinoise que l’on retrouve dans les décors (inspired by the provinces of Guizhou and Guangxi ) et le design de certains ennemis (soldats anciens, statues vivantes, créatures masquées…). Cherry on the cake, the developer s’est fait plaisir en créant une héroïne sexy, que l’on peut équipper de tenues légères dans le menu des options et qui nous est parfois dévoilée à travers des angles de caméra “bien choisis”. A l’heure où le politiquement correct a envahi la plupart des productions vidéoludiques, ce petit côté décomplexé s’avère assez rafraîchissant. En tant que jeu indé proposant un solide gameplay et des graphismes dignes d’un AAA, Bright Memory Infinite aurait-il donc tout de la bonne surprise? Hélas non, car il porte assez mal son nom. En guise d’infini, il faut en effet se contenter d’une durée de vie d’environ deux heures! C’est évidentement trop peu, même au prix officiel de 20€…

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