Comment Franck Dubosc changes his image with his new film “Rumba la vie”

Quatre ans après le succès de Tout le monde debutl’humoriste repasse derrière la camera avec Rumba la vieune comédie douce-amère où il change pour la première fois de sa career de registere.

Il arrive generally un moment, dans la career d’un humoriste, où celui-ci cherche absolument à être pris au sérieux, à devenir un acteur dramatique. C’est le cas de Franck Dubosc, qui après 25 ans à jouer des personnages attachants de beaufs et de dragueurs lourdingues, propose enfin une facette inédite de sa personality dans sa seconde realization Rumba la vieau cinéma ce mercredi.

Dans cette comédie douce-amère, où il donne la réplique à Jean-Pierre Darroussin et Michel Houellebecq, Dubosc incarne Tony, chauffeur d’autobus scolaire misanthrope, persuadé d’être passé à côté de sa vie. Il vit seul après avoir abandonnée femme et enfant vingt ans plus tôt. Bousculé par un malaise cardiaque, il decide d’affronter son passé et de s’inscrire incognito dans le cours de danse dirigé par sa fille, qu’il n’a jamais connue, dans le but de donner un sens à sa vie.

Pour la première fois de sa career, Franck Dubosc n’essaye pas de faire rire son public. Un rôle inhabituel pour lui, qu’il n’a pas prédémité, assure-t-il.

“J’aurais pu le faire jouer par quelqu’un d’autre, pour justement éviter qu’on se dise, ‘tiens, il a voulu changer de rôle’. Car je n’ai pas voulu changer de rôle”, he insists ‘humorist.

“Je l’aurais fait avant, sinon”, ajoute le comédien, passé derrière la caméra il ya quatre ans avec Tout le monde debut. “C’est juste qu’il avait ce rôle-là de disponible, et je l’ai pris. Je ne l’ai pas écrit pour moi. Je n’ai pas vraiment envie de prouver ou de me montrer à moi-même que je sais jouer ça. Je sais que je sais le jouer. Mais c’est moins agréable à jouer que la comédie.”

“Je me demande si je suis quelqu’un de bien”

À l’écran, Franck Dubosc endosse une apparence plus severé. Il a peaufiné chaque détail de son costume. Avec ses cheveux gominés vers l’arrière, sa mustache à la Jean-Pierre Marielle et ses santiags, il est volontairement “très vintage”, s’amuse-t-il.

“Je voulais qu’il ressemble aux papas des gens de mon âge, pas aux papas modernes. Je voulais que le spectateur puisse y voir son papa.”

Franck Dubosc confirme toutefois avoir voulu se “reposer” de lui-même. “Comme je suis réalisateur, et que je devais me diriger soi-même, je ne voulais pas riscer de me tromper en essayant de faire rire. Si je me mettais à trop jouer de manière comique, je risquais de passer à côté de la vérité et de la sincérité du personnage.” L’acteur-réalisateur a ses raisons pour être aussi implicati: le film est adressé à ses enfants.

Rumba la vie est né de la culpabilité d’avoir dû frequenment abandonner ses enfants pour tourner. “J’ai peur qu’un jour ils me disent ‘papa, quand on était petits, t’étais pas là’. Ce film ne leur prouvera rien, parce qu’ils auront oublié quand ils seront grands. Mais pour moi, c “était comme un exercice de style: je me disais que ce serait intéressant de voir si on pouvait aimer un tant soit peu un personnage qui a été autant absent.”

This theme haunts Franck Dubosc: “J’aime écrire sur des gens qu’on n’aime pas a priori et les rendre aimables.” Comme s’il voulait prouver qu’il était plus complexe qu’il n’y paraît.

“C’est une volonté de dire que je ne suis pas exactement celui qu’on croit – pas de le dire aux autres, mais de me le dire à moi-même. Je culpabilise de plein de choses et je me demande souvent si je suis quelqu’un de bien.”

“Conjurer le sort”

À l’approche de la soixantaine, Franck Dubosc pense de plus en plus à la mort. Il a écrit l’année dernière un telefilm inspired by the disappearance of his father, La Dernière Partie. Et dans Rumba la vie, il joue un cinquantenaire menacé par un cancer mortel: “Ce n’est pas que ça m’obsède, mais j’ai toujours écrit sur les choses qui concernaient ma vie, dont je pouvais parler parce que je les connais”, modère Franck Dubosc. “Là, c’est un petit peu plus tôt que ce qu’on pourrait croire, comme pour conjurer le sort.”

Cette dimension mélancolique, déjà présente dans ses films écrits avec Fabien Onteniente (Camping, Disco), le pousse à enfin mettre de côté les rôles de dragueurs lourdingues qui l’ont fait connaître. “Ces personnages ont été une parenthèse dans ma vie. C’était only pour plaire. On me demandait de les jouer, et je donnais. Ce n’est pas du tout ma vie. Ça m’a terribly amusé, mais maintenant je joue ce que j’ai toujours voulu jouer. J’écris pour moi, pour me faire plaisir et qui m’aime me suive.”

Franck Dubosc now wishes to embrace his new career as a stage manager. “Mon premier désir a toujours été d’être réalisateur. Puis je me suis rendu compte qu’être réalisateur, c’était diriger et eventually se faire détester. Donc jai abandonné l’idée parce que mon but était de me faire aimer . Puis, avec le temps, avec l’expérience, j’ai compris qu’être réalisateur, c’était montrer aux gens qu’on a besoin d’eux”. À terme, il envisage de s’effacer complètement der ses films. “Ce seront des histoires avec des personnages plus jeunes, et je ne jouerai plus dedans.”

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