feu vert pour la nouvelle série du MCU sur Disney+

Après Moon Knight et plus recently Miss Marvel, Disney+ continues de nous offrir des séries sur des héros jusqu’alors discrets mais non pas moins intéressants. Avec She-Hulk : AdvocateDisney+ is moving away from the sombre et lunatique series Moon Knight pour nous offrir quelque chose de plus pétillant… et coloré. Une nouvelle fois, les studios font preuve de ver

Tribunal du rire et la bonne humeur

Cet été est placé sous le signe de l’humour du côte de chez Marvel. Après le décalé Thor: Love and Thunder dans les salles obscures, les studios ont voulu continuer sur leur lâncee sur le petit écran avec She-Hulk : Advocate. La nouvelle série des écuries Marvel mise sur la légèreté pour aborder ce mois d’août, et la fin des vacances, de la meilleure des manières. Et cela fait du bien. Une brise fraîche souffle sur l’Univers Cinématographique de Marvel.

Avec une protagoniste haute en couleur (c’est le cas de le dire), She-Hulk se laisse regarder avec plaisir. Jennifer Walters est une avocate brillante, ambitieuse, sure d’elle et qui a tout pour grimper les échelons. Mais les choses se compliquent quand elle se retrouve avec les pouvoirs de Hulk following a car accident en compagnie de son cousin, qui n’est autre que l’estimé Bruce Banner. Désormais capable de se transformer en mastodonte vert à la force surhumaine, Jen n’a tout de même pas perdu le plein contrôle d’elle-même. À l’inverse de ce cousin à l’époque. Mais avec ces pouvoirs, elle va devoir s’adapter et trouver l’équilibre pour pour suivre sa vie le plus normally possible. Le moins qu’on puisse dire, c’est que cela va créer des situations cocasses. Dans la sphere personale comme professionnelle.

Notre Miss Hulk étant capable de briser le quatrième mur, elle aime nous prendre à partie ci et là durant les épisodes. Une manière intéressante d’immiscer le spectateur dans la série. Ces apartés, parsimoneux, permettent de nous impliciter dans l’intrigue et donnent un context et une dimension souvent humoristique aux événements qui se drollent sous nos yeux.

À contre-courant de ce que nous avons l’habitude de voir chez Marvel, She-Hulk : Advocate nous emmène à la rencontre d’un personnage qui a tout sauf envie d’être une super-héroïne. Pour Jennifer Walters, rien ne doit entraver sa carrière d’avocate. Pas même ses super-pouvoirs. Ainsi, au lieu de nous raconter realtamente les débuts de Jennifer Walters en super-héroïne, la série nous plonge dans la vie d’une femme qui doit jugler entre sa vie d’avocate, sa vie perso et sa “super” vie. Et ce n’est clairement pas facile tous les jours… Mais c’est finalement cela qui rend la série really interesting. D’autant que Tatiana Maslany is impeccable in her role.

Un équilibre trouvé

Entre l’humour, ultra present, et le format (des épisodes d’une trentaine de minutes), il serait presque facile de rapprocheur la dernière series du MCU des sitcoms comme Brooklyn Nine-Nine oh The Office. Presque.

After the revelation of his identity to the world, Jennifer Walters va se voir confier la direction de la firme dedicatede aux super-héros dans un grand cabinet d’avocats. L’occasion d’heriter d’affaires truculentes… Si l’humour est quasiment omniprésent dans She-Hulk : Advocate, le côté judiciaire du personnage principal vient équilibrer le tout. En effet, son métier d’avocat permet d’aller creuser des thèmes intéressants et de se questionner sur les lois et leur application en cas d’apparition de personnes doues d’habilités surprenantes. Un peu de sérieux derrière cette façade pop et décalée, avec une affaire à chaque episode. Bingo.

C’est l’occasion, aussi, pour le spectateur d’avoir droit à une poignée de cameos très appreciable. Dance She-Hulk : Advocate, le fan service fait sa loi. Mais nous n’allons clairement pas bouder notre plaisir. Effectively, avec son nouveau boulot, Jennifer va croiser le chemin de plusieurs personnages bien-aimés des fans de Marvel. Parmi eux, un dont nous attendons particulier le retour… En espérant que le MCU n’ait pas raison de lui. Mais en parlant de cameos, il n’y en a pas que pour les personnages signés Marvel. Vous le constarez par vous-même. He a presque envie de dire que le multivers est bel et bien réel.

Extrait de She-Hulk : Advocate

© Disney+

Un délit (mineur) visuel

Malgré une intrigue plus ou moins pertinente et une héroïne intéressante, She-Hulk pèche par sa forme. La CGI is not up to the level of a series signed by Marvel with a protagonist à la couleur criarde et clairement pas agréable à l’œil. Disons qu’on a déjà vu mieux dans le MCU et en général, surtout en 2022. Il semblerait que Marvel ait préféré miser sur le fond que sur la forme.

Mais outre des effets visuels peu satisfaisantes, he deplore surtout un changement drastique entre Jennifer Walters et Miss Hulk. La jeune femme traque ses cheveux rather short et bouclés pour une longue chevelure au brushing parfait à chaque transformation. Et peut-être even quelques bonnets de poitrine en prime. Difficile de trouver le pourquoi du comment. Malgré des messages féministes intéressants dans les dialogues, tout tombe à l’eau avec une Miss Hulk qu’on a voulu rendre “sexy” malgré ses deux mètres de haut et sa peau d’un vert fluo pour le moins original, ce qui n ‘est clairement pas necessaire dans l’intrigue. Décidément, he condemne cet aspect de la série. Damage.

Mais tout n’est pas à jeter pour autant du côté de l’ésthétique puisque le générique final de She-Hulk : Advocate est tout bonnement magnifique avec des planches de dessins qui se succèdent. C’est créatif et pétillant, donc he adore.

Ver

Dans l’ensemble, She-Hulk : A lawyer est coupable d’être ce qu’on attend d’elle : une série sympathique et divertissante, avec un brin de fraîcheur et d’originalité. Neither plus nor moins que ce qu’on s’imaginaiit. Les quatre épisodes que nous avons pu découvrir se laissent dévorer avec grand plaisir. Même si on aurait pu faire mieux du côté de l’origin story dans la premier épisode. Dans tous les cas, il s’agit d’un beau départ pour She-Hulk : Advocate.

Mais rien n’est encore joué! En effet, la série est composée de neuf épisodes, diffused à raison d’un par semaine. Les jurés ont jusqu’au 13 octobre prochain pour délibérer, une fois l’épisode final sorti. D’ici là, la série est condamnée à une bonne note.

She-Hulk : Advocate

Affiche de She-Hulk : Advocate

He likes

  • Une intrigue pétillante
  • Des acteurs pertinents
  • Un savant mélange entre comédie et série judiciaire

He aime moins

  • Des effets spéciaux qui laissent un peu à désirer
  • L’hyper-sexualisation de Miss Hulk inutile


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