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An employee makes a driving demonstration with the Drive Pilot level 3 autonomous driving system in a new Mercedes-Benz Class S.
TRANSPORT – Le futur est déjà là… ou presque. Depuis ce jeudi 1er septembre, synonyme de rentrée scolaire, la France autorise officiellement la circulation de certaines voitures autonomes, même s’il faudra encore se montrer patientier pour expérimenter realtement ces véhicules.
En vigueur depuis le 14 juillet en Europe, la conduite dite « level 3 autonomous » it is now possible in France. L’autonomie était jusqu’à present authorized pour le niveau 2 en France (partial automation with control of speed and direction, as is already the case with the “Park Assist” option, for example).
Mais pour expérimenter l’autonomie de niveau 3, encore faudra-t-il se procurer un tel modèle, ce qui est loin d’être une mince affaire : aucun constructeur implanté sur le sol français ne dispose des homologations pour mettre sur le marché un phone model
D’autant plus que pour pouvoir circuler sur les routes de France à bord d’une voiture autonome de ce type, il faudra respecter un certain nombre de conditions rather consignantes : rouler sur une route interdite aux vélos et aux pétons et munie d’un séparateur central, do not exceed the maximum speed of 60 km/h (the speed of 130 km/h can be reached soon if the car can realize an automatic dépassé) and finally be able to take control of the vehicle at any moment from le siège conductore.
De quoi servir principalement dans les bouchons et autres embouteillages sur l’autoroute ainsi que sur les périphériques bondés. Pour le reste, il paraît encore compliquer de voir proliferer ce type de véhicules avant un certain temps.
Mercedes loin devant la concurrence
Pour l’heure, only Mercedes seems well placed in Europe to supply these car models in France. Mais à en croire le constructeur allemand derrière les gammes Class S ou EQS (qui disponente du système « Drive Pilot » en option), la France n’est pas encore à l’ordre du jour : « Nous avons déjà engagé des discussions avec les autorités françaises, mais nous ne pouvos pas donner de calendar », avance un porte-parole de la marque aux Echoes. WITHurtout que cette option de pilotage autonome necessitate au préaléad un travail de cartographie complet des routes de France.
As for Tesla, he remains prudent. The models currently tested in the United States correspond rather to a level 4 or 5 in terms of autonomy, as for the more classic and already commercialized models in the Hexagon, they are considered to be level 2. In the French marques, nothing d’annoncé avant plus de deux ans, notably pour le groupe Stellantis (Citroën, Peugeot, Fiat, Jeep) qui compte collaborer avec BMW pour mettre au point son premier modèle autonome de niveau 3, comme le note France Inter.
Cinq niveaux d’autonomie
L’autonomie d’une voiture se base sur une échelle d’autonomie comprise entre 0 et 5. At 0, le véhicule est deprior d’un système d’autonomie, là où il est omniprésent au niveau 5 (pas de volant, ni de pédale, ce qui veut dire que le conductor n’a pas d’incidence sur le parcours).
Au niveau 3, he parle rather d’automatisation conditionnelle ». Dans certaines situations predefinées, le conductor peut déléguer complètement la conduite du vehicle. Même si, à ce niveau, le conductor doit être capable de reprendre la main à tout moment, pour pallier les limits de l’ordinateur de bord, le conductor n’est plus responsable de la conducte. Ainsi, au regard de la loi, un modèle de niveau 3 implies que c’est au constructeur automobile de prendre la responsabilité pénale en cas d’accident.
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