LA TRIBUNE- Aujourd’hui, l’étage supérieur AVUM de Vega et de Vega C est motorisé par un moteur ukrainien. Do you have a sufficient stock of motors to ensure the continuity of the service of Italian lancers?
DANIEL NEUENSCHWANDER- Absolutely. Je confirme que nous avons à court terme (two à trois ans) les stocks nécessaires pour l’exploitation des deux derniers Vega, puis de Vega C. C’est une très bonne nouvelle pour les missions institutionalelles européennes, qui doivent absolument profiter de ces opportunities de vols.
Les rumeurs selon lesquences l’usine de Dnipro avait été détruite ou damagementite semblent faussses. Quelle sont vos information sur la situation de l’usine de Dnipro?
Sur la situation de la chain industrielle, je ne peux pas pour des raisons evidentes de sécurité, commenter. Mais je peux vous dire que je suis très reconnaissant pour le travail mené dans un contexte difficile par cet industriel.
Pour reinforcement la resilience du lancer Vega C, l’ESA a toutefois demandé à Avio de réfléchir à une alternative au moteur ukrainien MEA même si vous souheit continuaire avec Youjnoye installed à Dnipro not loin des combats russo-ukrainiens. Il y aurait trois solutions : américaine avec Aerojet, italienne et une solution provisé par ArianeGroup Allemagne (motor Berta). Quelle est votre vision sur ce dossier?
Forest options que vous avez évoquées sont sur la table. Pour être clair, nous avons confié à Avio des études sur ces differentes options et il me semble absolument crucial à ce stade, de les suivre en parallèle jusqu’au moment où nous pourrons nous orienter d’une manière certaine vers l’une ou vers l’autre. Il est clair que la priority est évidentement de continuer le contrat en place avec les partenaires ukrainiens. Mais c’est une évidence pour tout le monde qu’il faut que nous ayons plusieurs alternatives dans le contexte actuel. C’est ce que nous faisons et cela requiert un petit peu d’investissement. But it’s a strategic investment.
With regard to these options, il est clair que les Italiens voudront priorityment développer un program national. What are the priority criteria of the ESA?
Soyons clairs, nous avons un seul objectif, un seul : c’est la continuité des services de launch de Vega C pour les besoins d’autonomie de l’Europe. Une fois qu’on a dit ça, nous regardons les différences options mais aussi les criteria qui prévalent. They are doubles. Le plus important est evidently le facteur temps : si nous voulons assurer la continuité du service avec Vega C, il faut que nous nous assurions qu’il n’y ait pas de trou capacitaire. So planning is the first criterion. Deuxième criterium évidentement fundamental : la faisabilité technique. C’est ce qui nous motive à ce stade dans l’évaluation de ces différentes options.
Le facteur temps privilege la solution américaine, qui est un achat sur étagère mais qui serait peut-être mal vécue en Europe. Is it exact?
Vous évoquez l’option Aerojet, qui est efficaciously un achat sur étagère. Nous n’allons certainly pas développer une nouvelle capacité en dehors de l’Europe. Et je vais être parfaitement clair. Nous n’allons pas essayer de nous dépendance d’une dépendance pour tomber dans une autre dépendance. It’s obvious. But comme je l’ai dit, le criterium numero un est le planning. Si nous devions utiliser des solutions intermédiaires, elles ne pouraurent être qu’à durée limitée. J’aimerai insist sur le fait qu’il faudra que nous ayons à long terme une solution purely européenne. C’est bien sur cette orientation que nous travaillons, que travaille l’Italie, c’est-à-dire Avio mais aussi l’Agence spatiale italienne et le gouvernement italien. Nous sommes en contact étroit avec eux parce que nous partageons tous les acteurs l’objectif du besoin de continuité des services de launch de Vega C.
Développer un moteur en Italie à partir d’une page blanche pourrait être très long. Quelle est l’échéance visée?
Je vais laisser mes spécialists evaluator les différences options et je me ferai ma propre opinion sur la base de ces travaux. Aujourd’hui, je ne veux pas spéculer sur un planning. Mais simplement pour vous donner un élément, he ne partirait pas d’une page blanche parce que l’Italie a un savoir faire aujourd’hui qui est plus qu’une page blanche. Il est clair que nous avons une épée de Damoclès, qui est le facteur temps, criterion très important. Et c’est vrai qu’un moteur ne se développe pas comme on produit un tee-shirt. Cela va prendre quelques années. Mais il faut que nous regards le planning complet et ce que nous pouvons faire. Mais vous avez raison de soulever ce point parce que c’est le point absolument crucial auquel je répondrai quand j’aurai les résultats des différences études.
Qui décidera en dernier ressort : l’ESA, l’Italie ou les pays membres?
L’industriel Avio propose. Nous, du côté de l’ESA, nous allons evaluator la solution. Nous allons faire un arbitrage technique et nous allons discuter cet arbitrage avec nos partenaires insttutionnels italiens, c’est-à-dire le gouvernement et l’Agence spatiale italienne.
L’option Berta semble écartée. N’est-elle pas adaptante au lanceur Vega C?
Le moteur Berta est une solution concrete que nous avons sous étude. Pour tout vous dire, Vega et Vega C ont besoin d’un moteur pour l’étage supérieur d’une puissance de la classe de 2.5 kilos Newton. Pour Berta, il y avait au départ two options : un moteur de 2.5 kilos Newton et de 4 kilos Newton, la dernière étant déjà aujourd’hui sur les bancs d’essai parce qu’il sera utile également au kick-stage allemand Astris (étage addonnel) pour Ariane 62. Nous avons donc écarté l’option 2.5 kilos Newton parce qu’elle prendrait trop de temps et nous avons déjà sous étude l’option 4 kilos Newton. This solution is not the most optimal solution in relation to the needs of Vega C, but it is a gap-filler to find an intermediate solution with the objective of launching crucial European missions. Dans le segment Vega C, ce sont évidentement les Sentinel du program Copernicus.