la crise qui secoue l’hebdomadaire résumé en quatre actes

Paris Matchmythique hebdomadaire détente par le groupe Lagardère, connaît depuis début juillet de nombreux remous.

En cause, un choix de Une polemique, dans lequel la rédaction a vu le signe de l’influence grandissante du très conservateur Vincent Bolloré, qui contrôle nouvelles Lagardère via son groupe Vivendi.

Alors que les journalistes du titre viennent de voter une motion de défiance à l’encontre de leur direction, he vous explique comment le magazine en est arrivé là.

I – Un cardinal ultraconservateur mis à la Une

Tout commence début juillet quand l’hebdomadaire met à la Une le Cardinal Guinéen Robert Sarah, qui, à l’intérieur du magazine, fait l’objet d’un portrait rédecéd par Philippe Labro.

Le choix de la Une, visibly opéré dans les hautes sphères du groupe Lagardère, n’est pas anodyne, car Robert Sarah, que le magazine décrit comme « a man of influence and peace »est entre autres connu pour ses prises de position ultra-conservatrices.

Comme le rappelle Croix, il avait notably declared en 2015 que « les ideologies occidentales de l’homosexualité et de l’avortement et le fanaticisme islamique sont aujourd’hui ce qu’était le nazisme, le fascisme et le communisme au XXe siècle ».

II – La rédaction s’oppose vivement au choix de la Une

Avant même l’arrivée du magazine dans les kioskes, la société des journalistes de Paris Match publie un communiqué dans lequel elle s’indigne du choix réalisé en haut lieu.

Robert Sarah « est peu connu du grand public et se définit lui-même comme radical, défendant des positions très clivantes »explain the communiqué.

La rédaction regrette également que les prises de position ultraconservatrices du cardinal, que la Une du magazine présente comme un « man of influence and peace »soient passées sous silence.

III – Bruno Jeudy, pillar de « Paris Match », quitte l’hebdomadaire

La crisis née de ce choix de Une couve une bonne partie de l’été et ended, le 18 août, au départ de Bruno Jeudy, le rédacteur en chief « actualités, politique et économie » de l’hebdomadaire.

Dans un mail sentée à la rédaction, Patrick Mahé et Caroline Mangez, directeur général et directrice de la rédaction de respectively Paris Matchindicient que ce départ a été décidé « d’un commun accord ».

Mais la redaction vit ce départ comme une sanction, Bruno Jeudy sétant vivement opposé à ce choix de Une, comme il s’était opposé au choix de ne pas mettre Emmanuel Macron à la Une après sa réélection, comme c’est pourtant la tradition à Paris Match.

IV – La rédaction vote une motion de défiance contre la direction

Après la tenue d’une assemblée générale, la société des journalistes de Paris Match a voté le 21 août une motion de défiance à l’égard de la direction du magazine.

« Depuis des mois, la rédaction s’inquiète de l’ingérence de l’ingérence de l’ingérence de l’ingérence de l’ingerence de la groupe du groupe dans la conception éditoriale de nos pages et dans le choix des sujets »indique le texte, largely adopted par la rédaction (60 voix pour, 2 contre, 8 abstentions).

« Nous considerons que l’avenir de Paris Match est menacé et ce, dans le contexte de la prise de contrôle du groupe Lagardère, propriétaire de Paris Matchpar le groupe Vivendi et son shareholder de référence, le groupe Bolloré »pursue le texte.

« La presse est un métier qui impose des devoirs et ne peut se cantonner à des opérations financières ou des strategies d’influence »conclude the communiqué.

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