La jeunesse bleue déferle sur la Bosnia-Herzegovina

“Les jeunes sont là et elles sont fraîche”, said Héléna Ciak, elle même presque une incongruité, du haut de ses 32 ans et 120 sélections, comparée au reste de ses coéquipières. Pour le quidam marseillais qui s’était enthousiasmé l’été dernier devant les exploits des Bleues à Tokyo, l’équipe de France féminine était difficulement reconnaissable ce dimanche à Marseille. Des douze médaillées, huit étaiten absentes : Sandrine Gruda, dont les dernières nouvelles de l’état de santé sérient rassurantes, Alix Duchet (genou), Endy Miyem (cheville), Valériane Vukosavljevic (choix personnel), Diandra Tchatchouang (retraite) et les trois pensionnaires de WNBA, Marine Johannès, Iliana Rupert et Gabby Williams. Tout juste ont-ils pu avoir des flashes des JO avec les arabesques de Marine Fauthoux, héroïne surprise de la petite finale et propulsée leader à la mène (15 points à 7/10, 3 rebonds et 6 passes décisives en 24 minutes).

Du rythme et de l’intensité : la patte Toupane

Marie Pardon and signé une première cape convincinge (photo : Sébastien Grasset)

Pour le reste, Jean-Aimé Toupane a pu proceeder à une large revue d’effectif, avec la satisfaction de constater que les jeunes ont réponsue presentes : Marie Pardon a montré de très belles choses dans l’organisation du jeu (8 passes décisives en seulement 14 minutes), Pauline Astier est une vraie candidate et non pas une simple partenaire d’entrainment (6 points à 3/6 et 3 interceptions), telle qu’officiellement étiquetée jusque-là par la fédération… « Ce qui me fait plaisir , c’est de voir que les gamines ont transferred certaines choses », se rejoycit le sélectionneur national. « Ce n’est pas encore complètement ça mais il ya la volonté de faire. Ce n’est pas une question d’âge mais de compétence. Vous comprenez bien que le contexte est difficile et je suis ouvert à tout. Il faut des anciennes pour la transmission mais il ya du monde derrière! Si elles ne sont pas là, il faut bien des jeunes pour les remplacer. »

Après, il est difficile d’affirmer que les néophytes se sont hissées au niveau international tant la Bosnia-Herzegovina, privée de sa star naturalisée Jonquel Jones, fut inoffensive, pour ne pas dire faible, incapable notably de resister à l’intérieur où Alexia Chartereau s’est régalée (12 points and 10 rebounds). Compliqué, également, de tirer des enseignements fiables de cette rencontre dans ces conditions, si ce n’est de remarquer que les préceptes de Jean-Aimé Toupane beginnment à être appliqués : du jeu rapide, rythmé, des courses, de l’intensité défensive … « Mon directeur de la performance, Monsieur (Jacques) Commères, n’arrête pas de répéter que les équipes qui gagnent ont un cursorur très élevé sur ces aspects-là », note l’ancien bâtisseur du Stade Clermontois, un regard malicieux en coin pour son dirigeant, present dans la salle de presse. « Il faut du rythme et de la vitesse, c’est un denominator common. L’efficacy sur les sectors transitionnels des deux côtes du terrain est fundamental dans le basket moderne, he ne peut pas jouer que sur demi-terrain. »

Un sérieux appreciable

Jean-Aimé Toupane peut sourire : ses Bleues ont été convincingantes (photo : Sébastien Grasset)

If the context surrounding les Bleues is particularly unstable, l’équipe de France aura été aussi sérieuse que la situation de reconstruction ne l’exige, et c’est déjà un premier motif de satisfaction. 24 heures après avoir largely dominé ces mêmes Bosniennes dans un scrimmage à huis-clos, les tricolores ne sont pas tombées dans le piège du releasement et ont posé d’interéssantes fondationes. “On a corrigé nos erreurs de la eveille, ce n’était pas facile de les rejouer dans ces conditions”, soulignait Marième Badiane, l’une des plus efficaces du soir (10 points à 5/7, 3 rebounds et 3 interceptions. Impliquées d’entrée, les quintuples vice-championnes d’Europe n’ont cessé d’alourdir la note au fil de la rencontre, flirtant avec la barre des 20 points d’écart dès le premier quart-temps (30-11, 9e minute), jusqu’à +39 (76-37, 31e minute). « He ne faisait pas trop attention au score », révélait Héléna Ciak. « L’essentiel est là, l’état d’esprit est là et je suis rather satisfied de la victoire »

Une affluence décevante

Après 42 ans de disette, il fut simplement dommage de constater que le public Marseillais ne s’est pas realement mobilisé pour venir souterin cette jeune escouade. Alors que l’équipe de France n’était plus venue dans la deuxième ville de France depuis le 26 avril 1980 (défaite 80-81 contre les États-Unis), seulement 2,875 spectateurs sont venus encourager les Bleues. Une affluence inférieure, par exemple, aux délocalisations de Fos-Provence la saison dernière, qui attiraient régulément plus de 3,500 personnes. Mais ce n’est pas là-dessus qu’une médaille mondiale se jouera début octobre et si l’avenir immediat reste toujours aussi flou, les Bleues peuvent tourner la page de leur premier bloc avec le sentiment du devoir accompli. En fin de semaine, elles seront 16 à rejoinder Pau. Avec l’espoir, surtout, que les doutes autour de la santé de Sandrine Gruda soient dissipés d’ici là…

To Marseille,

few

August 21, 2022 at 7:31 am

“Les jeunes sont là et elles sont fraîche”, said Héléna Ciak, elle même presque une incongruité, du haut de ses 32 ans et 120 sélections, comparée au reste de ses coéquipières. Pour le quidam Marseillais qui s’était enthousiasmé l’été dernier devant les exploits des Bleues à Tokyo, l’équipe de France féminine était difficulement reconnaissable ce dim…

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