le collectif tricolore, le show du public italien, les attaques misogynes… Ce qu’on a aimé et moins aimé

From Rome to Ostie, onze jours de competition ont rythmé ces championships d’Europe de natation, qui se sont achevés dimanche 21 août, sur une nouvelle médaille tricolore avec le bronze du relais mixte en eau libre. La France est revenue sur le devant de la scène aquatice après des Mondiaux de Budapest, il ya deux mois, réussis. Franceinfo: sport fait le bilan des belles choses… et des moins bonnes qui ont marque les épreuves.

He and Aimé…

Si les individualités n’ont pas toujours été à la hauteur des attentes, le collectif français a brillé de 1,000 feux. Cinq médailles en natation sprint ont été rêves par les équipes tricolores, dont une en or sur le 4×100 mètres nage libre mixte. Sur le 4×100 m quatre nages, tant les garçons que les filles ont rapporté une breloque en argent, tout comme le 4×200 nage libre mixte. Finally, le 4×200 mètres nage libre hommes est reparti avec le bronze.

Le collectif français s’est aussi distingué en coulisses. Charlotte Bonnet l’a confirmé à franceinfo: sport : ce groupe vit bien. Avec son nouveau patron, Jacco Verhaeren, à sa tête, et quelques leaders comme Yohann Ndoye Brouard (en or sur 200 mètres dos) Maxime Grousset ou encore Marie Wattel, les Bleus ont parfaitement surfé sur la vague enclenchée à Budapest. De bon augure à deux ans des Jeux olympiques de Paris.

Avant ces championships, il fellait remonter à 2007 pour voir une Française avec une médaille autour du cou en natation artistique lors d’une compétition internationale. Virginie Dedieu était alors sacrée aux Mondiaux en individuel.

Quinze ans après, l’équipe féminine de natation artistique and won trois médailles de bronze. For his part, Quentin Rakotomalala is reparti avec le même métal en poche à l’occasion du premier concours masculin de natation artistique de l’histoire des championships d’Europe.

Même les spectateurs les plus aguerris ont été surpris par la fièvre dans les tribunes. Le Stade nautique, qui accueillait la natation sprint et le plongeon, tout comme le stade Nicola-Pietrangeli, hôte de la natation artistique, ont été le lieu de belles envolées de la part des supporters italiens. Ils ont crié leur amour pour leurs athlètes ou l’ont montré avec des pancartes en l’honneur de Gregorio Paltrinieri, Benedetta Pilato, ou même… Federica Pellegrini.

Mais le public italien est aussi connaisseur. Quand Yohann Ndoye Brouard doit retourner au front en solo en demi-finale du 200 m dos après avoir cassé son cale-pieds une heure plus tôt, il n’est pas vraiment seul. Quelques heures plus tard, les tribunes sont toujours pleine et c’est dans une ambiance digne d’un stade de football que le grand blond va sortir le deuxième temps de demies, avant, le lendemain, de remporter le titre européen.

He n’a pas aimé…

En amont des championships d’Europe, les girls de l’équipe de France ont partagé sur les réseaux sociaux une photo d’elles à la fin de l’entraînement. Captures d’écran à l’appui, Solène Lusseau a denóncé les attaques subies en ligne suite à ce post. Des réactions racistes, misogynes et sexistes.

“Ce ne sont que des hommes, la quarantaine, cinquantaine, pères de famille”selon Mathilde Vignères, l’une des nageuses de l’équipe de France interrogée par franceinfo.

La première chose qu’on pouvait entendre le long du Foro Italico, le 10 août, à la eveille de débuter ces championships d’Europe, était le bruit des perceuses et celui de la tôle balancée sur le sol. Le stade qui accueillait la natation sprint n’était pas encore termine quand les premières courses ont commencement.

He se souvient aussi de l’affaire des cale-pieds censés souterin les dossistes au moment du départ. Mewen Tomac, Yohann Ndoye Brouard, entres autres, peuvent témoigner. Si l’armature a cassé une fois lors de la demi-finale du pensionnaire de l’Insep, elle a souvent été replaced avant le départ sur differentes courses, de quoi destabiliser les sportifs face à ce matériel si peu sûr.