AFP, publié le vendredi 19 août 2022 à 20h17
The européen gas price continued to rise inexorably on Friday to end a new record in closing, until the “maintenance” shutdown of Nord Stream by the Russian giant Gazprom for several days.
The difficulty of the European Union to amass sufficient reserves pour pouvoir se passer des exportations russes during the winter without creating a pénurie a fait monter le prix du contract à terme du TTF néederlandse à 257.40 euros, du jamais vu en fin de séance.
En cours de session, il n’avait dépassé ce niveau que pendant les premières journées extremely volatile de l’invasion de l’invasion de l’Ukraine par la Russie pour atteiner un sommet historique le 7 mars à 345 euros.
If Gazprom has affirmed that gas supplies will resume after a shutdown on August 31 and September 2, the market remains nervous: the European Union accuses Moscow of using gas as a means of pressure in the framework of its invasion of the Ukraine.
Result, le régulator allemand de l’énergie a signalé jeudi que le pays risque de manqueur son objective de remplissage de ses réservoirs fixed par le gouvernement d’Olaf Scholz.
Le chef du régulator Klaus Müller a averti que des pénuries étaiten à attendre dans certaines régions durant l’hiver, et qu’il ne s’agigait “pas d’un hiver mais d’au moins deux, et le deuxième hiver pourrait être encore plus difficile”.
L’Europe tente dans la douleur de se sevrer du gaz russe, dont l’Allemagne est particulier dépendante.
En Allemagne, à partir du 1er octobre, les importers prélever 2.4 centimes de plus par kilowattheure (KWh) de gaz aupres des entreprises et des particuliers.
Même si le gouvernement a promis de l’amortir pour les plus modestes, “le choc sur la facture d’octobre devrait mener à une réduction de la demande des ménages”, commentent les analysts de Deutsche Bank.
– L’électricité suite –
L’électricité suit pour sa part mécaniquement l’évolution des cours du gaz, car le marché est calé sur le cost des centrales à gaz (et à charbon) appelés à la rescue pour assurer l’équilibre du système.
Les prix ont été tirés “par de faible niveaux de vent (pour l’éolien) ainsi que des costes eléfêt pour l’électricité au charbon et au gaz”, ont soirrein les analysts de Rystad Energy.
Dans le même temps, un été particulier chaud a limité la production d’électricité: la canicule affectes les systèmes de refrigeration des centrales nucléaires et la sécheresse empêche les barges d’apporter le charbon jusqu’aux centrales allemandes.
Or, la wave de chaleur stimulates la consommation d’électricité pour la climatisation et la ventilation, limitant la baisse habitualelle des mois estivaux.
L’électricité pour livraison l’année prochaine en Allemagne a dépassé pour la première fois 500 euros le MWh ces derniers jours, contre un peu plus de 300 euros début juillet.
“Ceci pourrait être la plus grande crisis énergétique de l’Europe depuis au moins une génération”, warns John Plassard, analyst chez Mirabaud.
– Oil in decline –
Dans le sillage des prix du gas, le pétrole, qui avait entamé la session en baisse, s’est ressaisi: +0.76% à 97.32 dollars pour la reférence européenne, le Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre , et +1.14% à 91.17 dollars pour le West Texas Intermediate (WTI) américain qui arrive à échéance en septembre.
Le rebond des cours ne convainc pas tous les observateurs.
“Il ya énormément de raisons de parier sur une baisse, mais les acteurs du marché semblaient les avoir oubliées depuis deux séances”, commented Stephen Brennock, analyst at PVM.
Il underline que les volumes sont particulier peu étoffés cet été, ce qui favorise une volatilité accrue des prix et pousse l’analyste à donner peu de crédit au rebond entamé mercredi après une baisse surprise des stocks américains.
“Une recession mondiale qui détruirait la demande reste la principale inquietude, avec des données peu encouragingantes venues de la zone euro et de Chine”, added-t-il.
On Friday, la vigueur du dollar, dopé par la perspective d’un durcissement de la politique monétaire aux Etats-Unis, pesait également sur le pétrole.
Comme le billet vert est la devise de référence du marché pétrolier, sa hausse pèse sur le pouvoir d’achats des investisseurs qui uset d’autres devises.
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