L’émotion de Sébastien, les nouvelles dents de Jean… Notre résumé du premier épisode

Et c’est parti pour une dixseptième saison de L’Amour est dans le pré ! L’animatrice Karine Le Marchand a donné lundi soir sur M6 le coup d’envoi d’une nouvelle fournée d’histoires d’amours champêtres, en rappelant son efficacious : depuis sa creation, l’émission est come en aide à 186 célibataires, dont la moitié est aujourd’hui en couple. Couples who gave birth to 66 babies.

L’entreprise de repeuplement des campagnes n’allait pas s’arréter en si bon chemin. Cette année, treize nouveaux cœurs à prendre – neuf hommes et quatre femmes, espérent trouver leur âme sœur ou frère.

Jean et le sosie d’Annie Cordy

C’est le cas de Jean qui, depuis le tournage du portrait, s’est fait refaire les dents, parce que « ça présente un peu mieux ». L’Auvergno-rhônalpin de 58 ans, éleveur de vaches depuis trente ans, aborde les rencontres avec ses prédentantes sans chercher le coup de foudre. « Ce serait la mort assurede. Je préfère un coup de cœur », plaisante ce père de trois enfants, célibataire depuis deux ans. Il a d’abord fait la connaissance de Corinne qui, dans son courrier, se décrivait comme « courageuse, aimante, tactile et sans aucun tabou ». Venue de Nancy, elle a offert à Jean l’une des spécialités de la ville : des bergamotes. En contemplant le sachet, il s’est demandé si c’était appropriate pour sa nouvelle dentition. « Ça se suce », he replied du tac au tac la femme aux quatorze années de célibat. La délicieuse grivoiserie n’a pas fait mouche.

Ce fut ensuite le tour de Laurence, qui a elle aussi connu deux divorces et s’occupe d’enfant et de personnes agées. Le courant est bien passé et, en plus, Jean l’a trouvée « plus jolie en vrai que sur la photo ». Elle a donc été conviée à l’étape suivante, le séjour à la farme. Il aussi choisi Nathalie, une agente d’entretien de 55 ans à qui il trouvaite des airs d’Annie Cordy. « On me dit que je ressemble à Nicole Croisille », she added, rapport à ses cheveux blonds coupés courts. Prête à être une femme avec lui?

Noémie et la taille de son amour

Noémie, 25 years old, elle, élève des vaches dans le Jura. Célibataire depuis quatre ans, elle est un cœur meurtri : elle a été trompée dans toutes ses relations. Un point commun avec son premier prétendant, Romain, 29 years, venu des Hauts-de-France et qui après trois ans de vie commune s’est séparé de sa compagne sur fond d’adultère. Il a dit être « prêt à toutes les concessions pour repartir à zéro » et à « être papa dans les 12 mois ». Un peu trop pressé et pressant? Non, Noémie veut avoir des enfants à court terme, c’est un de ses criteria de décision. Le hic : sa taille. « Il est petit », and noté la Jurassienne tout en s’excusant de « faire la difficile ».

Le prétendant suivant, Maxime, faisait quant à lui « la bonne taille », mais le courant n’est pas passé. Cela s’est mieux déroulé avec Guillaume, 24 ans, fils d’agriculteurs, mais là, c’est la maturité qui a posé souci. « J’ai l’impression que je vais devoir le porter », and the redoubtable Noémie.

Avec Gaël, grand gaillard ambulancer, le tête-à-tête a commencement froidement. Il n’était pas très smilein, ses réponse étaiten laconiques, et il n’avait pas l’air très fan du Stade Toulousein contrairement à l’agricultrice. Après la lecture des courriers, il était pourtant le chouchou de cette dernière, qu’elle avait encore davantage à partager avec lui que leur passion pour le rugby. La discussion a fini par se détendre. Après coup, face camera, Gaël a confié être « pudique » mais qu’à l’intérieur de lui, c’était « pump it up, champagne et feux d’artifice ». Sur notre canapé, he s’est dit qu’il devait être redoutable au poker pour ne laisser paraître aucune émotion. « C’est le genre de caractère qu’il me faut. J’ai un caractère fort, je sais ce que je veux et ce que je ne veux pas », a débriefé de son côté Noémie. Elle decided to select Gaël and Romain for the stay at the farm.

Sébastien, le beau gosse ému

Sébastien, à qui le public semble avoir décerné le titre officieux de « beau gosse » de la saison, est venu chercher celle qui pourrait partager sa vie en Corse où, à 35 ans, il élève des cochons. L’étape du speed dating a fait mentir son air bourru ou ténébreux. Face à ses pretendantes, he l’a senti dans ses petits souliers, timide, sa voix grave d’ordinaire oscillating entre les intonations chevrotantes et les aigus d’un adolescent en pleine mue. Il faut dire que les jeunes femmes qui sont venues au rendez-vous l’ont couvert de compliments et de flatteries.

« T’es plutôt beau », lui a lancé Léa, Alsacienne de 27 ans, avec une certaine maîtrise de l’euphémisme tant elle le dévorait des yeux. Elle se décrivait comme timide et dottee d’un « caractère de cochon » et d’un bon sens de l’humour. C’est ce dernier point qui a semble-t-il particulier séduit le Corse à la recherche de profils « authentiques ». Léa a été choisie pour le séjour à la ferme.

L’autre heureuse élue, c’est Perrine. « Une très jolie femme, tout à fait mon style », « aussi jolie en vrai qu’en vidéo », said Sébastien. Elle lui a revealed qu’elle est déjà allée sur Google Maps pour survoler le village où il vit. Sébastien n’a pas semblé trouver cela trop inquiétant. Il lui a expliqué sa conception de l’amour : « Ce que j’aime, c’est comme ma grand-mère parle de mon grand-père. Il a disparu il ya trente ans, c’est toujours le même amour ». Perrine n’a pas eu l’air de trouver ça trop inquiétant.

La strategy du lit non-fait

Les premiers tête-à-tête ont à peine commencement que L’amour est dans le pré nous a proposé de suivre – déjà – un séjour à la ferme. Direction chez Jean, dans le Rhône, où Laurence est arrivée la première. Jean lui a raconté qu’il n’a pas fait les lits : « Je pensais qu’on les ferait ensemble, pour parler ». He retient la tactique consistant à faire passer de la flemme pour du romantisme. Quoi que l’efficacy du stratagem reste à prouver. Laurence, qui a empoigné la housse de matelas sans rechigner, n’était pas dupe : « Je pense plutôt qu’il ne sait pas trop faire un lit », at-elle declaré une fois seule face à la caméra.

La cohabitation n’est pas pour autant partie du mauvais pied. « Il a l’air attentionné, je me sens bien dans la maison », a reagie la prétendante, estimant que « le courant passait bien. » « Elle a l’air vraiment interéssée à faire la cuisine. Elle prend les choses en main, ça met en confiance », a jugé Jean. L’harmonie sera-t-elle toujours de mise lorsque Nathalie aura rejoint la ferme? On le saura dans un prochaine épisode.

« Coquin de sort! »

La soirée s’est achevée sur un suspense avec le return de Thierry, 65 ans, qui avait déjà tenté de trouver sa moitié dans l’émission en saison 10, en 2015. Mais il avait fait surtout connaissance de la désillusion avec la sexy Annick . Cela ne vous dit rien? Et si he vous dit : « Coquin de sort ! » Le gimmick de Thierry, que l’on a dû entendre une demi-douzaine de fois ce lundi a fort potential de jeu à boire : à chaque occurrence, cul sec ! (L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, veillez à consommer avec modération). He ne saurait que trop conseiller à Thierry de deposer sa phrase signature comme une marque et d’en sortir une gamme de produits dérivés.

Mais foin des ambitions capitalistiques, revenons au plancher des vaches, ou pluto des vignes du célibataire en Paca. The sexagenaire a bien retenu la leçon de sa première participation et cette fois, il a demandé à lire les courriers sans voir les photos. La strategy sera-t-elle la bonne? La femme de sa vie se trouve-t-elle parmi les « sept femmes très différentes » qu’il s’apprête à rencontrer? Patience, dès lundi prochain, he verra si le sort est bel et bien coquin.

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