How to explain the success of K-dramas in France? Qu’est ce qui attire autant le public français vers les séries sud-coreennes?
S’il est certain que ce genre plaît aux spectateurs en France, il est plus difficile de le prouver par des chiffres récentes. Très peu d’études sont réalisés sur l’impact de la hallyu, la vague de culture sud-coréenne, à l’intérieur de l’hexagone. Certains chiffres exist pourtant : nous savons que les K-dramas ont generative sur MyTF1 « several hundred thousand views« , mais ces données datent déjà de 2016 ! Autre information à ne pas oublier, sur la plateforme viki.com, le français est dans le top3 des langues les plus soustitrées, d’après Les Mondes Numériques.
- Dans un entretien accordé à Ouest France, les chercheurs Vincenzo Cicchelli et Sylvie Octobre, qui ont travaillé sur le phenomenon de la hallyuindicient que ce qui plaît aux jeunes français, ce sont d’abord « la qualité et l’esthetisme des realizations«. Effectively, comme l’apparence est très importante, voire primordiale en Corée du Sud dans la vie quotidienne, ces injonctions de beauté se retrouvent dans la K-pop, comme dans les K-dramas. Le physique des acteurs et des actresses est très soigné bien sûr, mais l’amour de l’esthétique va plus loin. Une grande attention est portée aux plans tournés, par exemple. « Nous recherchons des contenu de qualité qui répondent aux goût des millenials » avait indicé en 2016 Olivier Ou Ramdane, directeur général adjoint d’eTF1, qui avait diffused certain K-dramas.

- Ce contenu de qualité est souvent appetit par des grandes entreprises, des chaebols, qui donnent des moyens pour la production. Avec ces moyens, place à l’imagination: les K-dramas fantastiques sont aussi très attractifs pour le potential de creativité qu’ils dégagent, avec de la mythologie et des légendes différentes de celles connues en France (mainly Greek and Roman)!

- Un autre aspect qui jouerait beaucoup serait « la nature expressive des Coréens, souvent surnommés les Italiens de l’Asie« , autant dans les traits de leurs personnages, que dans le jeu des acteurs. Décrits comme un « a savant mélange between American culture and Asian culture« , la Revue des Médias estime que les dramas constituent une « alternative sérieuse aux séries américaines«.
- Les K-Dramas apportent aussi une offere différence de l’offre américaine qui domine les plaformeurs telles que Netflix par exemple. C’est la deuxième raison évoquée par les chercheurs. Sylvie Octobre explains that, dans les séries, le groupe passe avant la personne seule, les liens sociaux sont très importantes, et la masculinité n’est pas égale avec virilité: « Ça parle d’amour et d’amitié, mais sans scène de sexe et avec des arrières plans sociaux, comme la maladie mentale ou la réinsertion après la prison. » Ce qui attracte les jeunes Français finalemente, c’est une proposition différence, un autre point de vue.

- Dans leur livre « K-pop, soft-power and global culture« , les deux chercheurs parlent des caractéristiques des K-Dramas. Dans beaucoup de séries sud-coreennes, les héros vivent en paix avec une modernité technologique, alors que « l’Occident [et] le Japon ne se privent pas dans leurs productions culturelles d’en fournir une vision inquiétante » comme des héros soumis aux technologies. Effectively, he peut penser que les nouvelles générations, rather inquiètes pour leur futur en général (crise climatique, économique…), sérient plus attracúes par ce futur paisible, surtout que la plupart des dramas ont une fin heureuse.
Finally, le chercheur Vincenzo Cicchelli summarizes everything very well: « La romance coréenne réenchante le monde sans tomber dans la niaiserie et les jeunes y creient sans pour autant être naïfs.«