les négociations à l’ONU échouent

Aucun accord n’a été trouvé entre les États membres de l’ONU réunis depuis deux semaines pour s’entendre sur un treaty de protection de la haute mer, qui passerait notably par la creation d’aires marines protégées. Greenpeace denounced the “avidity” of the EU, the United States and Canada to guard the genetic resources of the high seas for them.

The prospect of signing an international treaty to protect the haute mer is moving away. Après deux semaines de négociations, les États membres de l’ONU se sont séparé, vendredi 27 août, sans parvenir à finaliser le texte. Plusieres contentieux majeurs impêchent un accord pourtant crucial pour l’océan, trésor fragile et vital pour l’humanité.

The delegations oppose toujours sur le processus de création d’aires marines protégées, ainsi que sur les modality d’application de l’obligation d’études d’impact environnementales avant une nouvelle activité en haute mer.

Parmi les sujets qui ont divise les États membres, la repartition des possibles befências issus de l’exploitation des ressources génétiques de la haute mer, où pharmaceutical, chimiques et cosmétiques espérent découvrir des molecules miraculeuses.

“Avidité” de l’UE, des États-Unis et du Canada

Répondant aux demandes des pays en développement qui craignent de passer à côté de retombées potenciales faute de pouvoir conduire ces couteuses, le dernier projet de texte laissait sur la table la redistribution initiale de 2% – et à terme jusqu’à 8% – des futures ventes de produits issus de ces ressources qui n’appartiennen à personne. Mais toujours entre crochets, signifying l’absence d’accord.

Greenpeace avait d’ailleurs accusés jeudi l’UE, les États-Unis et le Canada de éprecipiter ces negociations vers un échec en raison de leur “avidité” à garder ces ressources pour eux. Des accusations rejected par un négociateur européen.

Ces questions d’équité Nord-Sud traversent de nombreuses négociations internationales, en particulier celles sur le climat où les pays en développement victimes mais pas responsables du reheatement réclament en vain aux pays riches de respecter leurs promesses d’aide financière.

“Malgré la déception de ne pas avoir finalisé le traité pendant ces deux semaines, nous jugeons encourageants les progrès réalisés”, a toutefois commenté Liz Karan, de l’ONG Pew Charitable Trusts, appelant à une nouvelle session d’ici la fin de l ‘année.

Après plus de 15 années de discussions informalelles puis formalles pour accoucher d’un texte binding visant à sauveragder la haute mer, cette vaste zone qui couvre près de la moitié de la planete, cette cinquième session devait être la dernière – comme devait déjà l’ être la quatrième, en mars. Mais, malgré des discussions qui ont débordé dans la soirée de vendredi, cela n’a pas suffi.

“Proches de la ligne d’arrivée”

“Nous n’avons jamais été aussi proches de la ligne d’arrivée dans ce processus”, a relevé la presidente de la conference, Rena Lee. L’Assemblée générale de l’ONU va nowreis être saisie de la demande de la demande de reprendre cette quinquième session à une date qui reste à determinaire.

Le traité vise specifically la haute mer qui commence où s’arrêtre les zones économiques exclusives (EEZ) des États, à maximum 200 milles nautiques (370 km) des côtes, et qui n’est donc sous la juridiction d’aucun pays.

Alors que la bonne santé des ecosystémes marins est crucial pour l’avenir de l’humanité, notably pour limiter le reheatement de la planète, seulement 1% de cet espace, qui représente 60% des océans, est protégé.

Un des piliers du treaty sur “la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la jurisdiction nationale” est d’ailleurs d’y permettre la création d’aires marines protégées. “Une étape crucial dans les efforts pour protéger au moins 30% de la planète d’ici 2030”, avait souiné cette semaine Maxine Burkett, une responsable pour les océans au département d’État américain.

Certains experts craignent que si le traité sur la haute mer n’est pas conclu d’ici la fin de l’année, cet objectif soit hors d’atteinte.

With AFP

VIDEO – L’ONG Greenpeace calls for “un traité fort” pour la protection des océans

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