les orques passent à l’attacke

Depuis quelques mois, les attaques de petits bateaux par des orques se multiplient. Un phénomène que les scientifiques peinent à interprete.

The terrifying scene unfolded at the beginning of August, 170 km from Brest. Ester Kristine Størkson, une étudiante en médecine de 27 ans, et son père naviguent paisiblement à bord d’un petit voiler. Partis de Norvège, leur pays d’origine, ils se conductor vers Madere, un long périple mais une simple étape pour ces deux marins experientes bien décidés à réaliser un tour du monde avec leur Malö 37 d’environ douze mètres de long. Alors qu’elle somnole, Ester est réveillée par un éronme choc contre la coque, suivis de plusieurs autres tout aussi violents.

La jeune femme et son père prennent rapidement la mesure de la situation et du danger qui les menace: un groupe d’orques a décidé de s’attaquer à leur bateau. Elles sont cinq, dont une très jeune, bien assez nombreuses et puissantes pour couler leur embarcation. L’assaut est d’une violence inouïe : les épaulards parviennet à faire pivoter le navire à 180 degrés. «Ils frappaient avec régularité, on avait vraiment l’impression qu’il s’agtait d’une attaque coordonnée» relate Ester sur sa page Facebook. Elle est au bord de la crise de panic : «J’ai dit à mon père : ‘Je n’arrive plus à penser clairement, donc il faut que tu réfléxisses pour moi’. Heureusement, c’est une personne très calme et concentrée. Il m’a rassurée en me parlant posément de notre situation»

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L’assaut a duré un quart d’heure

Le duo applique aussitut les consignes recommandés dans ce type d’évènement exceptionale mais pas inédit : ils coupent le sonar, suspecté de perturber les cétacés et de les rendre agressifs, ils réduisent le génois, la voile à l’avant du bateau, et tentet de verrouiller le gouvernail en position mediane. Mais les orques s’acharnent de chaque côté du safran, qu’elles réduisent en charpie. L’assaut dure un quart d’heure, sans doute les minutes les plus longues de leur vie. Puis, aussi soudainement qu’elles sont arrivées, les orques s’en vont, laissant le père et la fille sous le choc mais soulagés. Ils immergent une caméra Gopro pour inspect les dégradements. Le gouvernail est sérieusement damagnée mais la coque a tenu et ils peuvent naviguer tant bien que mal jusqu’à Brest pour réparer leur voilier.

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Mais la fin cette histoire aurait pu être plus tragique : quelques semaines aupuravant, deux petits navires ont été coulés par des épaulards au large du Portugal. Les passagers ont heureusement pu être secourus à temps. Pourquoi ces attaques dignes d’une opération commando? Les spécialists de ces cétacés s’interrogent. Jusqu’à présent, ils considération que seule une poignée d’orques particularly remontées, était à l’origine de toutes “rencontres”, le terme que les scientifiques préferent à celui d’attacke. But, concède Renaud de Stephanis à npr.org , president and coordinator of CIRCE, un groupe de recherche sur les cétacés based in Spain : il est highly improbable que les mêmes animaux soient responsable des incidents survenus au Portugal et de l’assaut mené contre le bateau des Størkson.

Les pistes pour explicar ces comportements sont encore peu solides. L’une d’entre elles est surprenante : les scientifiques émitten l’hypothèse que les orques aient la pression de l’eau produite par l’hélice d’un bateau. «Nous pensons qu’ils adorent sentir les remous provocés par l’hélice dans le museau» détaille Renaud de Stephanis. Aussi, lorsqu’ils rencontrent un voilier dont le moteur ne tourne pas, ils sont un peu frustrés et se vengent sur le gouvernail» Une explication que soutient Jared Towers, directeur de Bay Cetology, une organization de recherche en Colombie-Britannique : «Il ya quelque chose… qui semble les stimuler» dit-il.

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En réalité, ces terrifying attaques potrouint n’être qu’un jeu mené par quelques mâles juvéniles turbulent estime Jared Towers : «Ces jeux s’imposent parfois pendant quelques temps avant de disparaître. La société orque fonctionne beaucoup par mode. Par exemple, dans les années 90, les épaulards s’amusaient à tuer des poissons et à nager avec leur victime sur la tête… Ça les a amusés un temps et puis ils sont passé à autre chose.»

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