Trois semaines après la end des Mondiaux d’Eugene dans l’Oregon et une seulement après celle des Jeux du Commonwealth, les Championnats d’Europe d’athlétisme débutent ce lundi à Munich, 20 ans après l’édition 2002, toujours au Stade olympique . Après la maigre récolte US (une seule médaille, celle en or de Kevin Mayer au decathlon) l’équipe de France porra-t-elle égaler son bilan de Berlin en 2018, avec 10 médailles dont 3 en or?
Venus en grand nombre en Bavière, notably pour que les plus jeunes emmagasinent de l’expérience internationale à deux ans des JO de Paris, les Bleus miseront avant tout sur quelques cadres et ont également un bon coup à jouer avec les relais.
Chez les hommes, la présence inattendue de Kevin Mayer sur un deuxième decathlon en moins d’un mois est une bonne nouvelle, evidently s’il a récupéré de ses efforts dans l’Oregon. Le recordman du monde et double champion du monde n’a jamais été champion d’Europe en plein air, et s’offre un joli défi.
He suivra aussi avec intérêt Gabriel Tual sur 800 m. Sixième des Mondiaux et premier Européen, il a tout à fait les moyens d’aller chercher une médaille à Munich, où Benjamin Robertmeilleur chrono des engagés, veut effacer sa déception d’Eugene (eliminé en demi-finale).
Happio doit confirmer sur 400 m haies
Même espoir de podium pour Jimmy Gressier sur 10,000 m, après sa 11e place aux Mondiaux. Le Boulonnais possesses the second best chrono 2022 des engagés. Sur 3000m steeplechase, Mehdi Belhadj espère que sa 13e place aux Mondiaux (3e Européen), lui permettre de s’installer parmi les poids lourds du demi-fond continental.
Très en vue il ya quelques semaines aux Etats-Unis avec sa 4e place sur 400 m haies à deux centièmes du podium en explosant son record personnel, porté à 47”41, Wilfried Happio doit confirmer à Munich sa nouvelle dimension. Il aura notably face à lui (enfin à côté) Karsten Warholm, trop juste physiquement à Eugene (7e).

Wilfried Happio avait échoué tout près du podium mondial à Eugene. (F. Faugère/L’Équipe)
Auteur d’excellents chronos à La Chaux-de-Fonds (1,000 m d’altitude) juste avant les Mondiaux, tant sur 100 m (9”99) que sur 200 m (19”97), Meba-Mickaël Zeze sera normally la meilleure chance individual du sprint français masculin, en souffrance ces dernières saisons. Peu en vue cet été, Jimmy Vicaut8e chrono des engagés sur 100 m, devra hausser la barre pour espérer un podium.
Grand pourvoyeur de médailles européennes, le 110 m haies pourra compter à Munich sur un quatuor très intéressant (Sasha Zhoya, Just Kwaou-Mathey, Pascal Martinot-Lagarde etc Aurel Manga). Le premier cité a le meilleur chrono des engagés (13”17) à égalité avec l’Espagnol Asier Martinez, et esperre que son corps le laisse enfin en paix. Kwaou-Mathey est passé tout près de la finale à Eugene, tandis que PML et Manga have une riche expérience des grands Championnats.
Si Mondo Duplantis règne en solo sur la planete perche depuis plusieurs saisons, Renaud Lavillenie peut tout à fait envisager de décrocher une nouvelle médaille européenne, sur la lânzée de sa 5e place aux Mondiaux. Dans une discipline comme le hammerteau où almost tous les meilleurs mondiaux sont européens, Quentin Bigot4e à Eugene, fera comme d’habitude partie des prétendants au podium.
Sur 35 km marche, Aurelien Quinion avait termine 14e (5e Européen à Eugene), ce qui en fait un intéressant outsider en Bavière. The 4×100 m relays (disqualified in the finale in Oregon for passage outside the zone) and 4×400 m relays (7th in the World Cup, 2nd European team) are all capable of bringing home two plus medals to the French delegation.
Espoirs limitées chez les femmes
Chez les femmes, ce n’est pas une surprise d’écrire que les espoirs de podiums seront plus limités que chez les hommes surtout après le forfait d’Alice Finot (3,000 m steeple) sur wound. Très attendues dans l’Oregon, Renelle Lamotte etc Cyrene Samba-Mayel ont connu des Mondiaux compliqués. The double vice-championne d’Europe du 800 was eliminated in the semi-final, très diminuée par le Covid. Elle arrives à Munich avec le 3e chrono des engagees derrière le duo britannique Hodgkinson-Reekie. Quant à la championne du monde en salle du 60 m hurdles, elle voudra faire oublier son elimination dès le premier à tour à Eugene sur 100 m hurdles.
À la perche, où le niveau européen n’a pas atteint des sommets cette saison, Ninon Chapelle (11e aux Mondiaux) et Margot Chevrier (4.70 m cet été, 3e rang des engagees) ont les moyens de jouer le podium, alors qu’au disque, Mélina Robert-Michon10e à Eugene, sera davantage considerate comme une outsider au vu de ses récentes performances.
Finally, le 4×400 m emmené par Amandine Brossier a montré de belles choses aux Mondiaux avec sa 5e place, ce qui en faisait la deuxième formation européenne. Une médaille semble donc tout à fait envisageable pour le collectif relais.
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