Lancées en 2021 à Vienne, les négotiations entre l’Union européenne et l’Iran potreint bientôt prendre fin.
The European Union (EU) announced on Tuesday, August 16 that it would examine Iran’s response to its compromise on the nuclear dossier, a crucial step that would mark the beginning of a month of difficult negotiations in the right line .
Ces négotiations entre l’Iran et les grandes puissances lancées en avril 2021 à Vienne, visent à resusciter un accord international de 2015, connu sous son sigle anglais JCPOA, qui garantit le caractère civil du program nucléaire de l’Iran, accusé de chercher à se doter de l’arme atomique malgré ses démentis.
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The Compromise «final» proposé par l’UE permet le retour des États Unis dans l’accord, dont ils séétait retirées unilateralement en 2018, avec la levée des sanctions américaines imposees à l’Iran, à condition que ce pays respecte ses engagements et cesse de dépasser les limites prescrites sur l’enrichissement et les autres activités nucléaires sensibles. «Nous avons reçu la réponse iranienne hier (lundi) soir. Nous l’étudions et consultons les autres participants du JCPOA et les États Unis sur la voie à suivre», and confirmed to AFP the spokesperson of Josep Borrell, head of European diplomacy and facilitator of indirect negotiations in Vienne between Iran and the United States. Avant lui, l’Iran a announced avoir transmis ses dernières remarques à l’UE et attendre une réponse rapide. «L’Iran a soumis sa réponse écrite» et juge un accord possible «si les États Unis reagissent avec réalisme et flexibilità», and indicé l’agence officielle iranienne Irna. D’après l’agence iranienne Isna, citant une «source information», Tehran «s’attend à recevoir la réponse de l’autre partie dans les deux prochaines jours».
«A prendre ou à laisser»
Conclus entre d’une part l’Iran et de l’autre les États Unis, la Grande-Bretagne, la Chine, la France, l’Allemagne et la Russie, le JCPOA a été torpedol en 2018 par le retrait des États- Unis sous Donald Trump et le rétablissement des sanctions américaines qui asphyxient l’économie iranienne. En réponse, l’Iran s’est progressively affranchi de ses obligations dictées par l’accord. Après des négotiations chaotices, suspendues à deux reprises, l’UE a proposé le 8 août un texte final de compromis «à prendre ou à laisser». During these negotiations, the EU played the role of intermediary between the United States and Iran, which have maintained diplomatic relations since 1980. According to Irna, «les divergences portent sur trois points. Les États Unis ont verbalement éclairage leur flexibility sur deux d’entre eux mais cela devrait être inclus dans le texte», and added Irna, sans plus de précisions. «The third point concerns la garantie d’un accord durable» réclamée par l’Iran aux États Unis, at-elle added.
Aucune partie n’a précis les points en suspens. Si la demande iranienne de retrait de la liste noire américaine des Gardiens de la révolution, l’armée ideologique de l’Iran, n’est plus à l’ordre selon un responsible européen, demeurent en revanche les garanties perennes de l’accord exigies par Téhéran et la demande iranienne que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) clôture la question des sites non declarées en Iran, où des traces d’uranium enrichi avaient été retrouvées.
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Pour Mohammad Marandi, un conseiller de l’équipe iranienne des negociateurs à Vienne, «les questions en suspense ne sont pas difficiles à rousseau. Elles sont liéantes aux craintes de l’Iran en raison des violations passées des États Unis et de l’UE». «Je ne peux pas affirmer que nous aboutirons à un accord mais nous en sommes plus proches qu’avant», he added in a tweet. On Monday, the Department of State of the United States refused to approve the plan submitted by the EU, affirming that Washington prendrait «contact avec Josep Borrell». «Ce qui pouvait être négocié a été négocié», at-il ajoute en réaffirmant la position américaine selon la la balle est dans le camp de Téhéran. «La seule manière de parvenir à un retour mutual au JCPOA (…) est que l’Iran abandonne ses demandes unacceptable qui vont bien au-delà du JCPOA.» Le porte-parole américain a refusé équalmement de se prononcer sur la possibilité d’une levée des sanctions américaines en cas de feu vert iranien au compromis de l’UE.
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