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Despite the support of Donald Trump, notably au cours d’un grand meeting de campaign au mois de juillet, Sarah Palin a été vanicue par sa rivale démocrate lors d’une élection test pour les idées réactionaires du camp Trumpiste.
UNITED STATES – And yet, Donald Trump avait son maximum pour la lancer vers la victory… L’ancienne gouverneure de l’Alaska et ex-candidate à la vice-présidence des États Unis au côté de John McCain Sarah Palin a perdu ce mercredi 31 août une élection partiale portant sur l’unique siège de l’État à la Chambre des représentants américaine.
Un scrutin test avant les élections de mi-mandat du 8 novembre, qui prend des allures de revers violent pour les candidats trumpistes.
Sarah Palin, 58 years old, who officially retired from public life after the defeat of her “ticket” in 2008 against Barack Obama, hopes to return to politics in a vacant seat after the sudden death of the republican Don Young, qui l’occupait depuis 49 ans.
Une pionnière du populisme du XXIe siècle
Malgré le soutien acharné de l’ancien president Donald Trump, elle a donc perdu face à la democrat Mary Peltola, qui représentera l’Alaska jusqu’au novembre 8, moment où la totality des 435 sièges de la Chambre des représentants des États Unis seront remis en jeu Sarah Palin pourra d’ailleurs se présenter à nouveau à cette occasion.
Cette conservatrice chrétienne a joué un rôle clé dans le virage populiste du parti républicain au cours des ten dernières années, destiné à les suffrages de l’électorat populaire blanc aux démocrates, le parti de l’actuel president Joe Biden. Elle s’était brusquement retrouvée sous les projectors lorsque’elle avait été choisie par le candidate républicain à la présidentité John McCain comme sa candidate à la vice-présidente lors des élections de 2008.
Son ascension a, selon de nombreux observateurs, ouvert la voie à l’ascension de Donald Trump vers la Maison Blanche, qu’il a conquise huit ans plus tard. Sarah Palin a raconté avoir soutenu le milliardaire new-yorkais dès le début de sa campaign en 2016, parce qu’il l’avait épaulée opuravant.
Affrontement entre pro et anti-Trump au sein du parti républicain
Désormais, près de 15 ans après l’irruption de Sarah Palin et de la fringe la plus conservatrice du parti républicain sur la scène nationale américaine, Donald Trump tente de consolider son emprise sur le parti à l’éléphant en sutenant, lors de primaires, the candidates qui lui sont favorable face à ceux de la droite républicaine plus modére. Avec un succès pour l’instant mitigé.
Début juillet, l’ancien president s’était rendu en Alaska pour donner un grand meeting de campaign au service de Sarah Palin. Un rendez-vous qui lui avait offert l’opportunité d’entretenir le mystère quant à une possible candidature en 2024 et de répéter ses arguments populites et infondés sur l’élection de 2020 qui aurait été “truquée” à ses dépens.
Des thématiques qui reviendront forcément à mesure que les midterms approcheront, alors que Donald Trump et ses alliés voudront prendre le pas sur leurs rivaux au sein du parti républicain. En plus de la chambre des représentants, lors de ces élections de mi-mandate, les Américains vont également renouveler un tiers du Sénat des États Unis et une thirtyaine de postes de gouverneurs. Ce qui pourrait provocateur un grand bouleversement dans l’équilibre des forces à deux ans de la next presidenteille.
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