massive manifestations après l’attentat échoué contre Cristina Kirchner

Jeudi soir après 9:00 p.m., a man acting apparently alone a pointé une arme de poing vers la tête de Mme Kirchner, à quelques mètres à peine, alors qu’elle se mêlait à des sympathisants devant son domicile de Buenos Aires. Selon les images de télévision l’homme a semblé appuyer sur la gâchette sans qu’aucun coup de feu ne parte.

Un homme arrété

Aussitôt maîtrisé et arrêté, l’homme a été identifique comme Fernando André Sabag Montiel, 35 ans, de nationalité brésilienne mais de mère argentine et de père Chilien, selon des sources policières citées par l’agence de presse officielle Telam. Vivant en Argentina depuis 1993, il avait été arrêté en 2021 pour port d’arme blanche.

Il a refusé de réponder aux questions de la juge et du prosecutor chargés de l’affaire, selon des sources judiciaires citées par la presse locale. Il avait aupuravan été soumis à des examens psychologiques qui ont determined qu’il est « situate dans le temps et l’espace » et est donc justiciable.

Un homme, « Mario », se presentante comme son ami depuis l’adolescence, l’a décrit sur la chaîne Telefe comme un « mythomane », un « marginal » perdu depuis la mort de sa mère, et dont la vie « a souvent été influencee par l’alcohol ». Sur son compte Instagram, Fernando Sabag arborait de multiples looks changeants, et maints tatouages ​​dont un soleil noir, generally associated aux groupes nazis.

Foul compact

Une foule s'est rasmléne dans plusieurs villes argentines.


Une foule s’est rasmléne dans plusieurs villes argentines.

JUAN MABROMATA/AFP

The attempted assassination was immediately condemned by the ensemble of the Argentine political class.

UN Secretary General Antonio Guterres said he was “shocked” by the attempted assassination that he “condemned”. Les Etats-Unis ont « condamné fermement », le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken indicating on Twitter that Washington is standing « aux cotés du gouvernement et du peuple argentins dans le rejet de la violence et de la haine ».

À Buenos Aires, la Plaza de Mayo, théâtre historique des joies et des colères de l’Argentine, était vendredi noire d’une foule compacte, comme severales avenues y menant, à l’appel de la coalition au pouvoir Frente de Todos (centre -gauche) et de mouvements affiliés. « Si la tocan a Cristina, que quilombo se va a armar ! » (S’ils touchent à Cristina, quel bordel se prépare !), chant fétiche, résonnait entres grosses caisses et pétards dans les rangs, bruyants et festifs, des partisans de Mme Kirchner, à 69 ans figure incongruent de la gauche Argentina.

And Santa Fe, Rosario, Cordoba, Tucuman et dans de nombreuses autres villes, les médias locaux ont rapporté des marches, à l’appel de sectors pro-gouvernement.

“Violence verbale” materialized

Vénérée par une frange de la gauche péroniste, mais politicienne clivante honnie par une partie de l’opposition, Cristina Kirchner, présidente du Sénat, reste sept ans après son départ de la presidencia une actrice influente dans la politique du pays à un an d’ une élection présidentielle pour laquelle elle n’a pas fait connaître ses intentions.

Elle est actuellement jugée pour fraude et corruption, procès pour partie en mode virtuall, auquel elle n’assiste pas. Le 22 août, 12 ans de prison et une inéligibilité à vie ont été requis contre elle, dans ce dossier d’attributions de marchés publics dans son fief de Santa Cruz (court), pendant ses deux mandats présidentiels.

Depuis le réquisitoire, chaque soir des centaines de sympathisants se rassemblent devant le domicile de la vice-présidente lui chanter leur soutien. C’est lors d’un de ces rassemblements, pourtant calme, que s’est produite l’attacke, qui pour nombre d’Argentins dans la rue samedi, même habitués à la forte polarization de leur politique, marque une rupture.

« Il y avait déjà un certain niveau de violence verbale et symbolique, mais maintenant elle s’est materialisée. C’est un tournant », s’est désolé Diego Reynoso, politologue à l’Université de San Andrés.

Vice President Cristina Fernandez de Kirchner.


Vice President Cristina Fernandez de Kirchner.

LUIS ROBAYO/AFP

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