L’Alfa Romeo Tonale, nous le connaissons déjà un peu puisque nous avons eu la possibilité d’essayer la version hybride 130 ch il ya quelques temps de cela. Et autant dire qu’elle nous avait un peu déçus par son manque de caractère. Le modèle 160 ch que nous venons tout juste d’essayer, hybride lui aussi, saura-t-il réconcilier les Alfistes? Réponse avec notre essai mesuré.
Le plumage
The endowment of equipment is already generous in the Super entry level (10 pouces screen, nombreuses aides à la conducte, Apple CarPlay et Android Auto sans fil, etc.) et carrément riche au deuxième niveau Sprint (induction charger, adaptive regulator , navigation Europe, radars de stationement). He aurait appreciable une finition plus homogène, quelques détails ne sont pas irreprochables, mais he note que la marque a fait des efforts. C’est aussi vrai en matière d’ergonomie. Le Tonale proposes une rangée de touches dedicated à la clim’, une vraie molette pour le son ainsi que quelques raccourcis bienvenus. Ainsi, deux pressures sur le bout du commodo de gauche suffisent à deactivatif le maintien dans la voie. De son côté, l’écran est réactif, bien définie et assez pratique… une fois qu’on a compris l’organisation des menus. Côté habitabilité, criterion essential pour une familiale, le SUV alternate le bon et le moyen. Si les grands gabarits sont correctly instalatable sur la banquette arrière, l’espace dédié pour allonger ses jambes est quelconque rapporté au gabarit, un 3008 offrant autant de place. Le coffre du Tonale est plus généreux, lui qui accueille 290 dm³ de bagages, plancher relevé en position haute, et 380 dm³ quand il est en bas. La conduite ne convincec pas complètement non plus. Let’s start with the steering wheel position. La faute à un siège qui ne descend pas assez à mon goût et, surtout, à une assise trop ferme, qu’on ne s’étonnerait pas de trouver dans une allemande.

Mais pas le ramage qui va avec
Mais c’est surtout l’agrément d’utilisation qui manque dans cette variante Hybrid 160, la première, avec l’Hybrid 130, à être arrivée en concessions. On touche là aux limites de la base technique du Tonale, reprise d’un Jeep Compass pas vraiment réussi. Malgré les efforts des metteurs au point, le SUV italien surprend dès les premiers kilometers par sa direction trop légère et pas centrée en mode N (Natural) de la molette DNA. Au moins, si les amortisseurs Koni FSD passifs à deux lois ont du mal, sur les routes dégradées, à contenir les battements des 20 pouces livrées de série sur cette Edition Speciale, les mouvements de caisse sont assez bien contenus. Mais pas de quoi faire du Tonale un SUV sportif pour autant, d’autant que la mécanique pèche à l’usage. Yet, elle profite d’une vraie hybridation, avec un bloc électrique logé dans la boîte de vitesse capable de displacer seul la voiture. But, n’offrant que 20 ch et 55 Nm, il est juste suffisant pour les manœuvres de stationement et pour rouler à moins de 20 km/h sans réveiller le 1.3 l essence. So, la cohabitation entre les deux n’est pas toujours harmonieuse, phénomène accentué par la lenteur de la boîte de vitesses à double embrayage fournie par Getrag. Pour davantage de dynamisme, il faut basculer en mode D (Dual Motor), où la direction ofre également un meilleur ressenti.

Consumptions décevantes pour le Tonale Hybrid 160 ch
He attendait plus de cette variante hybride 160 du SUV italien, pas vraiment sobre par ailleurs avec 7.8 l/100 km en moyenne et 8.3 l en ville. Voilà qui le situe au niveau d’un Mercedes GLA 200 de 163 ch non hybridé (7.9 l en moyenne) et far d’un Renault Arkana E-Tech, certes moins puissant (145 ch), mais qui se contente de 5 .6 l en moyenne et 4.6 l dans la cité. Nul doute que le Tonale diesel prévue pour la fin de l’année et équipée d’un 1.6 l de 130 ch fera mieux. En attendant, en 2023, une variante hybride rechargeable, qui, avec ses 275 ch, quatre roues motrices et 80 km d’autonomie électrique s’annonce… séduisante sur le papier.