Retrouvez ici l’intégralité de notre live #UKRAINE
10h14 : “Nous allons nous battre pour [notre armée] jusqu’au bout.”
Depuis Kiev, Volodymyr Zelensky a pris la parole pour le Jour de l’Indépendance, aujourd’hui, six mois après le début du conflict avec la Russie. Le président ukrainien s’est engagé à ne faire “aucune concession ou compromise” with Moscou.
09:50 : Bonjour, tout à fait. Pour cette fête nationale ukrainienne, des événements sont organized dans severales villes de France, comme à Dijon ou Perpignan, où une marche blanche se tient ce matin à 11 heures avant un spectacle de l’ensemble de danse Molodist et du studio vocal folklorique Chervona Ruta , à 15 heures, précis le quotidien L’Indépendant.
09h49 : Bonjour franceinfo! And at-il des manifestations de prévés aujourd’hui en France pour célébrer l’indépendance de l’Ukraine? thank you
09h27 : Le 24 février éclatait la plus grande crise militaire et humanitarian connue par le continent européen depuis la Seconde Guerre mondiale. Six mois après, où en est-on ? Military situation on the ground, dialogue and eventual negotiations, economic consequences on the countries in war and the rest of the world… Franceinfo summarizes the situation in Ukraine and its consequences.

(ANATOLIA STEPANOV / AFP)
08h57 : Et le retour massif au pays des Ukrainiens n’a donc pas encore eu lieu. Il ya toujours, six mois après le début de la war, plus de personnes qui quittent l’Ukraine que de personnes qui y entrent. Cette différence est en moyenne de 15,000 personnes sur les dernières semaines.

08:55 : Excepte le cas particulier de la Russie, la Pologne est le premier pays d’accueil, avec plus de 1.2 million de déplacés ukrainiens. Germany welcomes less than a million refugees, and the Czech Republic around 400,000. According to the HCR, around 96,000 people have arrived in France.

(ELLEN LOZON / FRANCEINFO)
08h52 : Le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) review, au 16 août, plus de six millions de déplaceds ukrainiens à travers l’Europe. Plus d’un habitant sur sept a donc fui l’Ukraine. Six months after the start of the war, franceinfo made the point on the situation of Ukrainian refugees.
08h16 : Elena, elle, est rentrée depuis le mois de juin à Kiev. Très active pour aider d’autres réfugiés lors de son passage à Paris en avril et mai, elle continues son travail sur place. “C’est horrible de vivre dans un pays en guerre, mais je suis à la maison, où je peux aider. Je n’ai pas peur de la guerre parce que nous ne pouvos gagner que sans avoir peur”m’a-t-elle esplicé dans cet article.
08h14 : “Les Ukrainiens disent que l’Ukraine est notre âme. On ne peut pas vivre sans son âme. C’est pour ça que je suis partie.”
Darya Bessonova is partie d’Ukraine en février. Témoin des atrocités de la guerre, elle a pourtant décidé d’y retourner, car elle voulait retrouver son mari et son fils.
08h26 : Près de 100,000 Ukrainian refugees have arrived in France since the beginning of the Russian invasion. Mais en six mois, certains sont aussi repartis dans leur pays. Pour mieux comprendre les raisons de ce retour, je me suis entretenu avec trois réfugiées, Darya, Elena et Yana, passées par la France ou l’Allemagne.

(ASTRID AMADIEU / FRANCEINFO)
07h38 : Dans son édition du jour, Ouest-France revient sur ces “six months of war that changed the world” en matière de relations internationales, d’alimentation ou d’énergie. C’est d’ailleurs sur ce thème que le journal L’Opinion se focalise aujourd’hui, en affirmant que le nucléaire est “pris en otage” au travers, notably, des tensions autour de la centrale de Zaporizhia (Ukraine).


(OUEST-FRANCE / L’OPINION)
07h38 : L’invasion russe de l’Ukraine, qui a débuté il ya six mois, se decliné logiquement à la une de nombreux quotidiens aujourd’hui. Le Figaro etc Le Télégramme point tous deux “le risque de l’enlisement” de cette guerre, avec des positions stabilisées pour chaque camp.


(LE FIGARO / LE TELEGRAMME)
07h23 : Dans cet article, nous vous racontons également les histoires de Tany Cheprasova, artiste ukrainienne réfugie à Paris, et de Bassem, jeune tunisien de 21 ans qui étudiait à Odessa (Ukraine) avant le début de l’offensive russe. Nous avons aussi rencontre Elena Yarovenko et son fils Bogdan, arrivés de Mariupol et Kherson. “Où est mon foyer, où est ma maison aujourd’hui ?”Elena asked.



(FRANCEINFO / PIERRE MOREL)
07h19 : “On comprend bien que c’est difficile de vivre avec nous, les réfugiés. Finallyement, on nous a demandé de partir.”
Olga Vasylchenko, partie de Kiev le 17 mars, se confie sur son accueil dans la région de Toulouse (Haute-Garonne). “Au début, tout s’est très bien passé avec cette nouvelle famille, mais au fil du temps, la situation s’est délitée. (…) Je connais au moins une dizaine de femmes ukrainiennes qui mont raconté une expérience similar”, témoigne-t-elle. Olga a pu trouver un nouvel hébergement, mais celui se trouve à deux heures en voiture du collège de son fils.

(FRANCEINFO / PIERRE MOREL)
07h19 : Dans cet article, Sofi Zakrasniana, 16 ans, vous raconte comment le conflit est venu bouleverser ses études, et sa préparation du baccalauréat ukrainien. Sa mère, Oleksandra Zakrasnian, se confie sur la mort de son père dans son village natal, au troisième jour de la guerre. Des soldats russes “l’ont fusillé en public”affirme-t-elle. “Je me demande : ‘Pourquoi?’ Je réalise que mon père est mort. Mais il n’a pas pu être interré, et cela empêche un processus de deuil.”


(FRANCEINFO / PIERRE MOREL)
07h12 : Il et elles s’appellent Bassem, Olga, Elena, Oleksandra, Sofi et Tany. Six months after the start of the Russian offensive in Ukraine, these refugees who arrived in France shared their stories of destruction and mourning of their past lives. We collected their testimonies, with my colleagues Fabien Jannic-Cherbonnel and Raphaël Godet, accompanied by our colleague photographer Pierre Morel.

(PIERRE MOREL / JEREMIE LUCIANI / FRANCEINFO)
06:30 : Dans les premières heures de ce mercredi, des explosions ont retenti dans severales villes, comme à Kharkiv (dans le nord-est du country), à Zaporizhia et à Dnipro (dans le center du country), selon les autorités locales.
06h26 : “The worst scenario is behind us. Nous sommes dans une phase de stabilization de tout le champ de bataille.”
Dans une interview accordée à CNN (in english)le ministre ukrainien de la Défense estime que son pays doit maintenant aborder une “new phase” du conflit débuté il ya six mois. “Nous sommes dans une phase de stabilization de tout le champ de bataille. Nous devons aller de l’avant pour commencer notre counter-offensive“appui-t-il.
07h12 : Aujourd’hui, les six mois du début de l’invasion russe de l’Ukraine coincident avec le Jour de l’indépendance célébré par Kiev, trente-et-un ans après la sortie du pays de l’Union soviétique. La fête nationale a donc lieu sous forte tension : “Nous devons être conscients que demain [ce mercredi], des provocations russe répugnantes et des frappes brutales sont possibles”and mis en garde Volodymyr Zelensky, hier soir.

(DIMITAR DILKOFF/AFP)
07h15 : Faisons un point sur les principaux titres de l’actualité ce matin :
Six months jour pour jour après le début de l’vasion russe, l’Ukraine estime par la voix de son minister de la Défense que “le pire scenario est derrière [eux]“.
#UKRAINE Dance L’Expressle president of Ukraine Volodymyr Zelensky assures that he wants to resume possession of the territories occupied by Russia, notably the self-proclaimed republics of eastern Ukraine.
Le gouvernement est de retour aux affaires ce matin avec un Conseil des ministres organizée à l’Elysée, lors duquel les nombreux chantiers de cette rentrée brûlante seront abordés.
#FRESNES Le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, affirme no “never avoir été informed” au sujet de l’organisation de “Kohlantess” à la prison de Fresnes (Val-de-Marne).