Pour cette édition anniversaire, dont le coup d’envoi sera donné mardi 23 août, davantage de films seront projetés. Et qui dit plus de films, dit aussi plus d’équipes. Entre les comedians et…
Pour cette édition anniversaire, dont le coup d’envoi sera donné mardi 23 août, davantage de films seront projetés. Et qui dit plus de films, dit aussi plus d’équipes. Entre les comédiens et comédiennes, les producteurs et les distributeurs, ce sont plus de 700 personnes à qui le FFA doit trouver une chambre dans un périmètre réduit: le Plateau, hardly more.
« It’s impossible to be outside. Les gens viennent pour travailler au festival d’Angoulême. Ils douvent pouvoir tout faire à pied »insistent Dominique Besnehard et Marie-France Brière, qui formulant un vœu : « Qu’on construise vite des hôtels ici. » D’ailleurs, les co-fondateurs du festival le jurent : « S’il y avait un hôtel de luxe en center-ville, il marcherait. »
Des investissements lourds à amortir
En attendant, le FFA doit faire avec ce qu’il a. Et pour compler la pénurie de chambres d’hôtels, “proprietaires certains nous contactent directement”, observed Emmanuelle Alba. Responsable de l’hébergement, elle poses les conditions pour qu’un logement soit accepted : « Il faut qu’il y ait un certain standing, que ce soit épuré, qu’on ne sente pas qu’on est chez quelqu’un. Chaque chambre doit avoir une salle de bain privative. »
C’est comme cela que Thomas Mesnier – pas le député mais un homonyme – a commencement à collaborater avec le festival. Après avoir rénové un hôtel particulier, Rempart du Midi, il a pris contact avec les équipes du festival, mi 2020. Depuis, ses cinq appartements, decoré avec goût, donnant d’un côté sur le golf, de l’autre sur l’ hôtel de Bardines et le Vieil-Angoulême, sont réservés chaque année. Une opération de renovation saluée par les fondateurs du FFA: « Il nous en faudrait encore une ou deux de plus comme celle-ci. »
Ses appartements sont aussi loués pendant le FIBD ou les Remparts. « En septembre dernier, je logeais des Britanniques. Ils avaient des places en gradins mais ils ont finalemente suivi la course depuis la chambre. La vue était aussi bonne et, en plus, il y avait le café », raconte-t-il. Il prévient, however, à l’attention de ceux qui souhaiteraient se lancer precipitamment : un investissement comme celui qu’il a réalisé ici avec son épouse « ne peut pas s’amortir seulement pendant les festivals ».
Depuis le dernier étage, vue sur la cathédrale.
Photo by Quentin Petit
En dehors de ces temps festifs, il accueille une clientele professionnelle: des équipes de tournage, des médecins pending leurs vacations, des touristes aussi… The address, qui dispose du label Gîtes de France « Citybreak », commence à être connue. La majority de ses clients réserve en direct. Booking is en second.
« Il y avait un manque »
« Il y avait un manque. I answered a request », glisse aussi Olivier Loirat, qui a monté une structure hôtelière en cœur de ville, il ya deux ans et demi. Il n’y a pas de grande enseigne sur sa façade. Mais le discret hôtel Villa Côté Plateau, ideally situated rue d’Austerlitz, affiche aussi complet pour le festival. Dans cet ancien hôtel particulier du XIXE siècle, fully renovated, Olivier Loirat loue cinq appartements et une chambre. Un appart’hôtel à la création duquel il était allé voir la mairie.
Et cela ne vient pas faire concurrence aux hôtels qui étaiten déjà en place. En tout cas, pas la semaine prochaine. Le Mercure a, comme chaque année, été requisitionné pour les vedettes. Le Saint-Gelais, l’hôtel du Palais, l’Ibis et le Palma are also reserved for the FFA. « Les chambres sont bloquées d’une année sur l’autre », observe Emmanuelle Albou, qui a fait le tour des établissements au printemps pour confirmer les réservations. Et a même ajouté un hôtel à la liste, cette année : quelques chambres ont été louées au Greet Hotel, tout retapé, route de Royan à Saint-Yrieix. Seul hic : il va falloir prévoir le transport.
FIBD, FFA, même combat?
Les problématices ne sont pas tout à fait les mêmes pour le FIBD et le FFA. Dans le cadre du Festival de la bande dessinée, fin janvier, c’est aux maisons d’édition de trouver des logements pour leurs auteurs. Pour ce qui est du Film Festival, c’est l’équipe organisatrice qui gère l’hébergement pour tous les invités. L’événement estival attire, par ailleurs, un public plus local que le Festival de la BD pour lequel certains visiteurs doivent carrément aller se loger à Bordeaux.