La ressortie d’Avatar et l’arrivée prochaine d’Avatar : La Voie de l’eau they represent déjà un progrès technique pour le cinéma et un vrai défi pour les salles.
Récemment encore, he s’interrogeait sur la disparition soudaine d’Avatar du catalog Disney+. Outre toutes les problématiques que cela soulève sur la question des plateformes, un tel phenomenon s’explicait tout simplement par le projet de Disney de ressortir très proaniment le film de James Cameron dans les salles de cinéma. Dès le 21 septembre prochain, le feature-métrage pourra être redécouvert sur grand écran à travers le monde. Un tool promotionnel efficace pour remittre Pandora et les Na’vi sur le devant de la scène avant l’arrivée imminente d’Avatar : La Voie de l’eau. Mais pas seulement. Dans cette ressortie d’Avatarpremier du nom, se cache un baptême du feu pour nos salles de cinéma face à un véritable défi technique.
Sont nombreux, et le seront encore, ceux qui ne ratent pas une occasion de déplorer la popularity du film, étant peut-être passé à côté de celui-ci à l’époque et le boudant toujours plus d’une decennie après. Pourtant, quand he parle de révolution en évoquant Avataril n’est guère question de l’avoir appreciable ou non. C’est un fait, le long-métrage de James Cameron a complètement bouleversé son medium lorsqu’il est sorti en 2009 et il s’apprête à refaire la même chose en 2022.
Un exploit que la vaste majority des films ne tente pas. So, Avatar 2 pourrait être un immense choc pour les salles de cinéma et celles-ci vont s’y préparer grâce à la ressortie du premier volet, dans sa nouvelle forme.
Prêts à prendre d’assaut les cinémas
Comme très bien explicaées dans un article de Boxoffice Pro, les nouvelles technologies utilisés pour Avatar 2 vont force les cinémas à devoir se préparer à un retour de la 3D (qui, puisque rien de nouveau n’avait été fait avec depuis, était un peu tombée en désuétude) et à diffuse le film dans de multiples formats. C’est toute une organization très complexe qui doit être faite en amont pour accueillier un film aussi ambitiouseux, tout ça dans le but de donner au spectateur une expérience en salle sentant véritablement de l’ordinaire.
Disney ainsi indicé aux exploitants de salle que “le film sera disponible en 2D et en 3D dans une version standard, répondant aux normes techniques de base de toutes les salles“ pour ne pas rendre le feature-métrage inaccessible aux cinémas moins bien équipées ou en manque de moyens. However, l’exigence d’une telle œuvre et les noveltés techniques du film obligent forcément les salles les plus sophistiquées à être à la hauteur :
“[Le film] sera aussi disponible dans des versions faisant appel aux dernières évolutions techniques in termes de projection: le 4K, le HFR, et une luminosity supérieure à 3.5 Foot-Lambert pour la 3D“
“Dis encore une fois “Pochahontas” pour voir”
Avatar 2 devrait donc sortir dans le plus grand nombre de formats possibles en plus de proposer des expériences inédites aux salles. He parle notably d’une combinaison très complexe entre une 3D de dernière pointe et du 4K HFR (une très haute résolution avec une cadence d’images per seconde allant de 48 à 120 images per seconde). James Cameron a l’air bien décidé à impose au public un format jusque-là peu appreciable, malgré les expérimentos de Peter Jackson (The Hobbit) et d’Ang Lee (Un jour dans la vie de Billy Lynn, Gemini Man).
En tout cas, ce défi soulève pour beaucoup plusieurs problématics : le réapprovisionement massif des lunettes (globally manufactured in China) dont une pénurie est à prévoir dès septembre, le choix des écranes pour projeter le film, la question de la luminosity (toujours delicate pour la 3D), etc. Par ailleurs, si beaucoup de salles sont équipées de projectors numériques avec une lampe en xenon, d’autres beginnment à transiter vers la projection laser, plus écologique et pratique pour la 3D. Avatar pourrait precipiter ce changement, même si beaucoup d’exploitants ne peuvent pas se permettre le cost du matériel.
Les exploitants qui attendant leur livraison de lunettes 3D
À la fois affolante et excitante, la révolution de James Cameron est en marche, et ce n’est pas étonnaire qu’elle soit la cause de tant d’émoi pour les distributeurs et les exploitants. Voilà pourquoi la réédition du premier Avatar est aussi rassurante pour tout le monde. Le film porra servir de “crash test” pour les cinémas afin d’appréhender la prise en main de ces nouvelles technologies.
Fait rare pour une ressortie, le film sera proposé sur un large réseau de salles (between 300 and 400 copies). For Frédéric Monnereau, director of distribution at Walt Disney France, “cela nous permettre de faire un état des lieux du parc français en matière de son, de projection et de HFR… et de préparer la sortie d’Avatar : La Voie de l’eau en décembre”.
An exercice qui, even beyond Pandora, est salvateur pour les cinémas. Une telle mise à l’épreuve est en soit une revolution, certes technique, mais aussi culturelle, ramenant au cœur du débat ce qui devrait être l’une des principales obsessions du septième art. C’est-à-dire proposer au spectateur des expériences qui soient toujours supérieures à ce à quoi il est habitué.
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