The dispositif, popularized during the Covid-19 crisis, could be deployed again widely in the case of the energy crisis this winter.
Le retour d’un chômage partiel massivement deployed? The dispositif, qui a permis de sauver de nombreuses entreprises lors des differents confinements lors de la crisis du Covid-19, pourrait de nouveau être massivement déployable.
En cause, la flambée des prix de l’énergie et de possibles restrictions l’hiver prochain. Constatant l’envolée de prix de l’électricité, certaines entreprises ont d’ores et déjà choisi d’avoir recours au chômage partiel. C’est par exemple le case de la verrerie Duralex, dont le president explain que “l’énergie représentait de 5 à 7% de notre chiffre d’affaires il ya un an an. Aujourd’hui, cela represents 40%”.
The invoice d’électrique passe de 7 à 80 million dans cette entreprise
“Face à ce coût, c’est impossible de continuer à produire”, explicate sur Franceinfo José-Luis Llacuna qui a decide de mettre en veille durant quatre mois “minimum” la production de son usine situate à la Chapelle-Saint-Mesmin dans le Loiret. Consequently, une grande partie des 250 salariés de l’entreprise vont être mis en chômage partiel à partir du 1er novembre.
Même problématique et mêmes consequences du côté de la sidérurgie, sector qui consomme également beaucoup d’énergie. Le 31 août, le groupe Ascometal, fabricant d’aciers spéciaux distribués dans le monde entier, a announced two interruptions de production de trois semaines chacune, l’une en novembre et l’autre en décembre, à Fos-sur-Mer (Bouches -du-Rhône) et Hagondange (Moselle). Rien que pour l’usine de Fos, le cost annuel de l’électricité passerait de 7 million d’euros cette année à 80 million d’euros en 2023. Le groupe décidé donc de mettre une partie des 1,200 salariés du groupe, sans compter les 300 sous-traitants, au chômage partiel.
Recours forcé au chômage partiel
Dans le Pas-de-Calais, la cristallerie d’Arques a fait débuter le chômage partiel le 1er septembre pour ses 1,600 salariés, à raison de deux jours par semaine, jusqu’à la fin de l’année. Là aussi, la flambée des prix de l’énergie est en cause. “Entre 2021 et 2022, la facture de gaz pour Arc France passe de 19 millions à 75 millions, c’est 56 millions supplémentaires”, détaille auprès de France 3 Guillaume Rabel-Suquet, directeur de la communication d’Arc France.
Ces secteur pourientn ne pas être les seuls touchés. Les stations de ski, dont l’activité necessité beaucoup d’énergie, s’inquiètent de voir leur facture flamber, et demandent des aides de l’État. In Isère, Chamrousse fermera encore des remontées mécaniques cet winter et réduira la vitesse de ces appareils en basse saison. La direction de la station ne sait pas si elle va pouvoir ouvrir ou non sa patinoire, rapporte Le Dauphiné, de quoi peser sur les emplois au niveau local.
La CFDT demande le chômage partiel pris en charge à 100%
Face à cette situation, et à la multiplication des recourses au chômage partiel, Laurent Berger reclame des aides similaires à celles mises en place lors des restrictions contre le Covid pour les entreprises. “Il va falloir réactiver les dispositifs d’accompagnement des travailleurs, notably en termes de chômage partiel et de chômage partiel pris en charge à 100%, parce qu’ils ne sont responsables en rien de la situation”, a lancé le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger sur Franceinfo ce vendredi.
Car en cas de mise au chômage partiel d’un salarié, hors Covid, “l’employer doit pourer au salarié une indemnité correspondent à 60% de son salaire brut par heure chômée, soit environ à 72% du salaire net horaire. Une indemnité ne peut pas être inférieure à €8.76, ni être supérieure à un plafond de €29.89 par heure chômé, rappelle le site service-public. Laurent Berger souhaite dont qu’en cas de mise au chômage partiel en raison des costos de l’énergie, le salarié soit indemnisé à 100% par l’employeur, qui se verrait financier cette aide par l’État.
À l’étranger, des usines à l’arrêt
France is not the only one touched by the forced arrest of certain activities. Nyrstar, l’un des leaders mondiaux de la founderie, détente par le négociant suisse Trafigura, avait annoucet mi-août, la “mise en maintenance forcée” de son usine de zinc de Budel aux Pays-Bas à compter de ce jeudi 1er septembre
VIDEO – Thierry Bros, energy and climate expert: “This hiver will be a very complicated hiver. Les responsables politiques se réveillent enfin mais un peu tard…”