“Russian chantage”, “central security”, “nouveau Chernobyl”… The nuclear site of Zaporizhia at the heart of international concerns

La feare d’un nucléaire plane accident sur l’Ukraine. La centrale de Zaporizhia, occupée par l’armée russe depuis début mars, est en proie depuis début août à des bombardements dont la Russie et l’Ukraine s’accusent mutualellement. En visite en Ukraine, jeudi 18 août, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, et le président turc, Recep Tayyip Erdogan, ont alerté sur la situation. Ces frappes creent un risque de “catastrophe of great scope”and aussi averti vendredi 19 août le président russe Vladimir Putin lors d’un entretien telefonique avec Emmanuel Macron.

L’Ukraine denounces “le blackmail russe”

À chaque nouvelle frappe, Moscou et Kiev se renvoient la responsabilité. Ainsi, l’Ukraine assure que les forces russes tirent elles-mêmes sur la centrale qu’elles occupent dans le but d’accuser Kiev de ces bombardements. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a denóncé, samedi 13 août, un “Russian blackmail” autour du site Il accuses Moscow of using the central office as an attack base for the Ukrainian army not to respond and demand “de nouvelles sanctions contre la Russie” fine de “blocker l’industrie nucléaire russe”.

L’Ukraine also accuses Moscow of stockpiling heavy weapons on the nuclear site. The patron of the Ukrainian nuclear operator Energoatom, Petro Kotine, estimated that there were 500 Russian soldiers, as well as 500 military vehicles without armored vehicles and tanks at the central station. “Le pire, c’est que ces deux ou trois dernières semaines, ils ont placé ces véhicules dans la salle des machines des unités 1 et 2”où l’électricité est produite, and affirmed Petro Kotine, ex-director of this installation.

L’incertitude règne et la multiplication des bombardements inquiète les autorités ukrainiennes qui disent s’attendre à “tous les scenarios”. Les secouristes préparent leur dispositif de sécurité et organisent des exercices de premiers secours en cas d’accident nucléaire. “Tant que la Russie contrôle la centrale nucléaire de Zaporizhia, il ya de gros risques”and averti mercredi le ministre ukrainien de l’Intérieur.

La Russie dit vouloir “assure la sécurité de la centrale”

“Nous soulignons que les troupes russes n’ont pas d’armes lourdes dans l’enceinte de la centrale et dans les zones avoisinantes”, répond le ministère russe de la Défense aux accusations de Kiev. Les forces armées russes seraint là pour “assurer la sécurité de la centrale nucléaire de Zaporizhia”, pursue le ministère. Concernant les accusations de bombardements, la Russie dénonce un coup monté. Elle maintient que l’Ukraine frappe la centrale dans le but de faire accuser Moscou.

The town of Energodar, close to the central station, is the target of bombardments, according to Vladimir Rogov, the head of the pro-Russian region. L’administrateur a accusé les forces ukrainiennes samedi 13 août : “Energodar et la centrale nucléaire de Zaporizhia are nouveau sous le feu des militants [du président ukrainien Volodymyr] Zelensky.”

On the occasion of the UN Secretary General’s visit to Ukraine, Antonio Guterres, Moscow accuses also Kiev of wanting to prepare “une provocation retentissante” sur place. According to Moscou, des unités d’artillerie ukrainiennes prévoient de tirer sur la centrale pour ensuite accuse la Russie d’avoir causé un accident nucléaire.

The international community wants a demilitarized zone

Ces tensions inquiètent bien au-delà des frontières de l’Ukraine. The Secretary General of the UN and the Turkish President were on a visit on Thursday 18 August in Ukraine for a trilateral meeting in Lviv with the Ukrainian President. La situation à Zaporizhia a été au cœur des discussions. “Nous devons dire les choses telles qu’elles sont : tout dégât potential à Zaporizhia serait un suicide”and alerté Antonio Guterres qui s’est dit “gravement preoccupied”. Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est alarmé du danger d’un “New Chernobyl”.

“Alors qu’on pursue nos efforts pour une solution, nous avons été et continuons d’être du côté de nos amis ukrainiens“, and affirmed the Turkish president. The president Zelensky and estimated jeudi that the visit to Lviv de Recep Tayyip Erdogan was un “message puissant de soutien” pour son pays.

Pour guarantee la sécurité du site et permettre une mission d’inspection, Antonio Guterres et les Etats Unis appellent à la mise en place d’une zone demilitarisée autour de la centrale. De son côté, the Ukrainian Minister of Foreign Affairs, Dmytro Kouleba, announced on Twitter that the director general of the International Atomic Energy Agency (AIEA), Rafael Grossi, lui a dit être “prêt” à se rendre à la centrale à la tête d’une delegation.

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