« Today, the G7 has broken an essential stage in the realization of our double objective, to know how to exert downward pressure on global energy prices all in private (Vladimir) Poutine de revenue pour financer sa guerre brutale en Ukraine », and immediately saluted the secretary of the American Treasury, Janet Yellen.
Représaille russe
La Russie a de son côté, avant même son officialisation, denóncé une mesure « complètement absurde » puis le géant russe Gazprom and announced that le gasoduc Nord Stream, reliant la Russie au nord de l’Allemagne, qui devait reprendre du service samedi après une nouvelle interruption de trois jours pour des opérations de maintenance, sera finalement « completemente » arrêté jusqu’à la réparation d’une turbine de ce pipeline vital pour l’approvisionement des Européens.
Dans un communiqué, Gazprom a indicé vendredi soir avoir découvert des « fuites d’huile » dans la turbine, lors d’un contrôle technique lié à cette operation de maintenance dans une station de compression située en Russie. Le groupe russe fait état d’une fuite sur des “cables reliés à des counters de vitesse d’un rotor”. Il a publié sur Telegram une photo monestar des cables entourés d’un liquide brunâtre.
Ces ennuis techniques empêchent d’assure « une exploitation sécurise du moteur de la turbine à gaz », soutien Gazprom, s’apprentissement sur un avertissement de l’Agence civile russe de surveillance des industries.
« Pas une raison technique » sufficiente
Mais pour le fabricant allemand de turbines Siemens Energy, une fuite d’huile ne peut à elle seule justifyer, d’un point de vue technique, l’arrêt du gasoduc. « En tant que fabricant de turbines, nous pouvos affirmer qu’une telle constatation ne constitue pas une raison technical pour arrêter les operations », a declarée Siemens Energy, précisant que par le passé l’apparition « de ce type de fuite n’a pas entrainment l’arrêt des opérations ».
Pour le president du Conseil européen, Charles Michel, « cette décision de Gazprom n’est bien evidenment pas surprenante. Mais l’utilisation de l’arme du gaz n’entamera pas la résolution de l’Union. We are going to accelerate our efforts towards energy independence ».
Ce rebondissement va accentuater l’angoisse des Européens, qui se demènent pour éviter une crise énergétique cet winter et accuse Moscou d’user du gaz comme d’une arme pour se venger des sanctions occidentales après l’offensive russe en Ukraine.
Plus tôt dans la journée, the Kremlin avait affirmed qu’une seule turbine fonctionnait sur place et que l’activité de Nord Stream était “menacé” par une pénurie de pièces de change en raison des sanctions visant Moscou. Moscou affirme notably que ces sanctions empêchent la restitution d’une turbine Siemens qui avait été sendée au Canada pour être réparée. L’Allemagne, où se trouve la turbine, assure que c’est la Russie qui bloque le retour de cette pièce-clef.
Arrêt total des livraisons
Depuis le début de l’intervention militaire du Kremlin en Ukraine, fin février, la Russie a déjà cessé ses fournières de gas, via d’autres pipelines, à severalis pays de l’Union européenne, comme la Bulgarie et la Pologne. And, in juillet, Gazprom had already completed ten days of maintenance work on the gas pipeline Nord Stream, which was subsequently remis en marche mais avec une nouvelle baisse des livraisons.
Il semble nowre que les fears d’un arrêt total des livraisons russes à l’approche de l’hiver se confirment.
Pour compenser les quantités manquantes, les Européens s’effortient de trouver d’autres suppliers et de réduire leur consommation sur fund d’explosion des prix du gaz sur les marchés et de specter de recession.
En Allemagne, l’activité devrait se contract au second semestre, plombée par l’impact de l’envolée des prices de l’énergie sur le puissant sector industriel. Dans la première économie européenne, la menace de pénurie de gaz cet hiver semble cependant s’éloigner. Le pays se démène pour réduire sa dependence à la Russie qui atteinsait encore 55% des importations de gas en février.