The slow disappearance of Hollywood comedies from cinema screens

Qu’elle paraît loin l’époque où les American Pie (Folies de graduation), The Hangover (Lendemain de eveille) et autres farces cabotines venues du sud de la frontière faisiant courir les foules dans les salles de cinéma au Québec. Genre exécré par la critique, mais très populaire il ya encore 10 ans, la comédie américaine grand public est aujourd’hui practically disparue des grands écranes.

« Il ya quelques années, la grosse mode à Hollywood, c’était les films-catastrophes, et maintenant, he n’en voit presque plus. Même chose pour les films de guerre. Aujourd’hui, he dirait que c’est la comédie qui passe à la trappe. C’est cyclique », notes Frédéric Venne, co-president of Groupe RGFM, qui gère quatre salles de cinéma à l’extérieur de Montréal.

Certes, la comédie a toujours moins bien fonctionné au box-office que les films d’action ou que la science-fiction. Mais il n’y a pas si longtemps encore, he retrouvait quand même toujours quelques comedies américaines dans le palmarès des films les plus populaires de l’année au Québec, à l’instar du grossier Scary Movie 4 (Film de peur 4) en 2006 ou encore du très léger premier Sex and the City (Sex à New York) en 2008. Mais depuis le milieu des années 2010, peu après que la comédie policière 22 Jump Street avec Channing Tatum eut connu un vif succès, il semble que Hollywood ait peu à peu délaissé le genre — à l’exception notable de 2020, lorsque la pandemia a retardé la sortie des superproductions et obligé les exploitants de salle à trouver un plan B.

Mais autrement, les quelques comedies américaines qui sortent en salle peinent souvent à trouver leur public au Québec. Avec pour prouve Easter Sunday (Dimanche de Pâques) avec l’humoriste américain Jo Koy, qui a connu un échec monumental à sa sortie il ya moins de deux semaines.

« C’est vrai qu’il ya moins de comédies franches qu’avant. Ça ne veut pas dire, par contre, que les gens ne veulent plus rire. Mais maintenant, la comédie a souvent tendance à être croisée avec un autre genre. Il ya des films de superhéros qui sont drôles. The next romantic comedy with Julia Roberts and George Clooney, Ticket to Paradisec’est aussi un film d’aventures. [L’humoriste] Kevin Hart, par exemple, ne fait plus de grosses comedies comme Jim Carrey et Adam Sandler à l’époque, mais he va le voir dans un film familial comme Jumanji », illustre Denis Hurtubise, co-president of the Association des proprietaires de cinémas du Québec.

Generation Netflix

La croissance des platformes de vidéo sur demande pourrait aussi explicar en partie pourquoi on trouve moins de comédies dans les salles de cinéma depuis quelques années. Adam Sandler, l’un des acteurs comices américains les plus populaires des années 1990 et 2000, est d’ailleurs sous contrat avec Netflix, qui diffuse en exclusivité ses nouveaux films.

À quoi bon se displacer en salle en 2022 pour écouter des films qu’on peut tout aussi bien visionner dans le confort de son salon? Unlike action films and science fiction, what is the value added to listen to a comedy on the big screen?

Les États Unis sont de plus en plus fracturés. Ce n’est plus la même chose qui fait rire les gens.

« Je ne pense pas que les plateformes aient quelque chose à voir là-dedans », retorques Vincent Guzzo, propriétaire de la chaîne de cinémas du même nom. Recalling that Netflix refuses to partager ses chiffres d’écoute, l’homme d’affaires doute que les nouvelles comedies d’Adam Sandler obtinenn le succès escompté. According to him, la baisse d’intérêt pour la comédie hollywoodienne est bien réelle, et le problème est bien plus profond qu’une simple question de format. « Les États Unis sont de plus en plus fracturés. Ce n’est plus la même chose qui fait rire les gens. Et ça se voit dans les sitcoms à la télévision, comme avec les comedies au cinéma. On ne vise que des publics très précis — la communauté latino, par exemple », pursues Vincent Guzzo.

Au Québec, les choses sont tout autres, insist-t-il, et les films québécois avec le plus de potential commercial demeurent les comédies. Reste que Lines of flight ou encore Arlette n’ont pas grand-chose à voir avec les Good Cop, Bad Cop etc De père en flic de ce monde. La comédie pur jus cède-t-elle le pas à la comédie dramatique?

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