Top 11 des trucs dont le prix va exploser dans les prochains mois

According to the declarations of Bruno Le Maire, Minister of the Economy, at the end of August: « Il ne faut pas attendre d’amelioration sur le front de l’inflation avant début 2023 ». Ça, c’est dit. L’inflation en question pourrait grimper jusqu’à 10% dans les supermarkets d’ici à la fin de l’année, contre 7% en ce moment. On the other hand, INSEE predicts a net rebound of inflation of 6.8% at the end of the year. Quand on sait que cette dernière est la plus haute jamais vécue depuis 1985, forcément… He flippe. Petit panorama des articles qui pouraurent vous coûter bien plus cher cette année qu’à l’accoutumé.

1. Les pâtes

L’aliment préféré des étudiants en galère n’est déjà plus aussi bon marché qu’il l’était quelques mois en arrière. Cette année, les pâtes ont déjà connu une inflation de plus de 18%, et ça ne va pas aller en s’arrangeant. According to Reuters, ces produits risquent de manquer d’ici à la fin de l’année. Avant d’arriver à ce stade de pénurie, les prix vont encore monter en flèche.

2. La baguette de pain

Globally, tous les produits à base de céréales directes (pâtes, farines, biscuits) et indirectes (volaille et porc) souffrent d’une forte inflation. Si he ajoute à l’explosion du cost des matières premières celles de l’énergie et des emballages, forcément… Les costs de production explosent, et se resentent en caisse. On average, the price of a baguette increased by 4.5% in a year, from €0.89 to €0.93 on average. Ces petites hausmes ne sont pas prêtes de disparaître. De leur côté, c’est un coup dur pour les boulangers qui sont constraints de réduire leurs marges pour ne pas faire fuir la clientèle. S’ils reportaient realtement les augmentations de prix sur leurs produits en vente, alors votre baguette pourrait vous coûter 30% plus cher, soit… €1.30. Beaucoup de courage et d’amour à tous les boulangers de France.

(Source)

3. La viande

Même constat pour la viande, la volaille et la charcuterie qui ont connu un bond de… 24.5%. Oui, c’est enorme. Dans le Parisien, un restaurateur parisien expliquait avoir été constraint d’augmenter de 5 euros le prix d’une entrecôte. Le canard, voit, lui aussi, ses prix s’envoler, après l’épidémie de Grippe Aviaire qui a décimé des élevages entiers. Votre foie gras de Noël pourrait vous coûter deux bras, une demi-jambe et la moitié de votre âme, cette année.

4. L’huile

Already 15.7% d’augmentation côté prix de l’huile. Pour l’huile de tournesol, l’Ukraine et la Russie assurent, normally, 80% des exportations dans le monde. Autant vous dire qu’en ce moment, c’est un peu tendu. La sécheresse et la canicule de cet été, elles, ne vont pas aider côté huile d’olive. Produite majoritairement en Espagne, le ministère de l’Agriculture du pays refuse de divulguer toute estimation, mais un analyste estime pour The Guardian qu’entre un quart et un tiers de la production manquera à la next récolte. Soyez prêt, le passage en caisse va nous faire (très) mal. On the other side of the border, prices have already increased.

5. Le lait

Une brique de lait costé déjà 4.5% de plus qu’avant la crisis. According to the directeur économique du Center National Interprofessionnel de l’Économie laitière, ces augmentations vont perdurer encore un petit moment. Les canicules et les sécheresses se succèdent, et les vaches ont de moins en moins d’herbe fraîche à consommer. Inéluctablement, tous les produits laitiers sont impactés. Between juin 2021 and juin 2022, les yogurts ont augmente de 4.5%, le beurre de 9.8% et le fromage de 5.2%.

6. L’eau gazeuse

Le prix d’un Perrier en terrasse fait déjà très mal, mais creyez-moi, ça pourrait devenir encore pire… En l’absence de sufficiente de CO2, certaines entreprises ont été constraints de suspendre la production d’eau pétillante. Si le prix du gaz continue de flamber (et c’est très probable) et que les stocks en CO2 sont épuisés, le produit pourrait devenir une denrée rare. Comme pour tout, quand l’offre devient bien inférieure à la demande, les prix flambent. RIP petit Perrier Energize d’après manger.

7. Le café

Cette fois, rien à voir avec quelconque conflit géopolitique. Le vrai problème, c’est tout simplement le dérèglement climatique. Certains parlent de « heatflation » pour definir les sécheresses, inundations, épisodes de gel,… Et à peu près tout ce qui peut mettre en péril les cultures. Après la pénurie de moutarde à cause de la sécheresse canadienne, place au café, dont environ 30% des récoltes brésiliennes ont été destroyed à cause du gel ou des inundations. Flash info : la planète va mal, et ce genre de phénomène pourrait se répéter encore et encore. Soyez prêt à voir regularly le prix de votre expresso péter tous les scores.

8. Le prix du bois

Face à la hausse du prix de l’électricité (nous y reviendrons), les particuliers se ruent vers le bois de chauffage. Result : les prix explosent déjà, alors que le mois d’Août s’achève à peine. In Gironde, for example, the price of wooden pellets has already increased by 100%. On its side, the wood is called “classique” and has already increased by 20%. Courage, l’hiver promet d’être rude.

La ruée vers le bois de chauffage des particuliers se confirme, face à l’inflation et l’augmentation des prix de l’énergie, entraînant, par ricochets, l’explosion des prices de ce mode de chauffage.

Posted by France 3 Nouvelle-Aquitaine on Thursday, August 25, 2022

9. L’électricité

Nous en parlions juste au-dessus, l’une des plus grosses inflations en cours concerne l’électricité. D’ici à janvier 2023, elle devrait coster plus de 1000 euros le mégawattheure (MWh), contre 85 euros l’année dernière, à la même période, sur les marchés de gros. Sur les factures, la hausse ne se fait, pour le moment, que raisonnablement ressentir, car le gouvernement a pris différentes mesures pour limiter la hausse des tarifs réglementés de vente de l’électricité. Aujourd’hui, la hausse ressentie est de 4% en moyenne, face aux 20% initially announced. Récemment, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a tenté de rassurer les Français en indicante que « le plafonnement à 4% sera maintenu jusqu’à la fin 2022, il n’y aura pas de rattrapage sur ce plafonnement en 2023, et les hausmes dont a parlé le president de la République et la Première ministre seront des hausmes contenues«. En revanche, nous n’avons pas davantage d’information sur le taux de « ces hauses contenues ». Toujours d’après le ministre, aucun scénario does not foresee « une inflation à deux chiffres en France », mais il ne faut pas s’attendre à une amélioration de celle-ci avant début 2023.

La situation, déjà tendue, ne va pas en s’arrangeant. En France, en ce moment, seuls 24 des 56 réacteurs nucléaires d’EDF fonctionnent, à cause, surtout, d’un problème de corrosion. Result: French electrical production is at a historically low level.

Les Français sont pour l’instant protégés par le bouclier tarifaire, en vigueur jusqu’à la fin de l’année. Mais après?

Posted by Le Parisien on Sunday, August 28, 2022

10. Le gaz

Pour le gaz, difficile de se positionner, même si son prix dépassé actuellement les 300 euros le megawatt/heure. Toujours selon Bruno Le Maire, « Tout va dépendre des decisions de Vladimir Putin sur le gaz. If they ever decide to cut gas for the EU and the euro zone, we evaluate the impact on growth, for only France, at a half-point of PIB. » Pour le moment, les prix du gas sont gelés et n’augmentent pas. Sans ce gel, le Tarif Réglementé de Vente (TRV) would have increased by 26.8% TTC (soit 105.10% de hausse en un an). Le gel du tarif sera maintenu jusqu’à fin 2022. Et après? Croisons les doigts pour ne pas avoir à trop serrer les fesses.

11. Le prix du péage

Cette fois, c’est Clément Beaune, ministre des Transports, qui s’est évoyeur sur le sujet dans les colonnes du JDD à la fin du mois de juillet. Selon ses propos, « Il est inconcevable qu’il y ait une hausse en février prochain, de 7% ou 8%. » En revanche, il est important de noter que le contrat liant les sociétés d’autoroute à l’État, figure « une formula de revalorisation annuelle des péages prenant en compte l’inflation ». Si en février 2022, la hausse a été de 2%, il ne serait pas étonnaire qu’en février 2023, elle soit de 4 ou 5%. Le Figaro a essayé d’en savoir plus, et les sociétés autoroutières ont refusé de réponder, ce qui, disons-le, n’est pas pour nous reassurer.

The government begins already to make pressure on the sociétés d’autoroute pour éviter de trop allourdir the invoice of the automobilists.

Posted by Le Figaro on Friday, August 5, 2022

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