Top 13 des trucs qui sont bizarre aux Etats-Unis, mais normaux partout ailleurs

On vous a déjà parlé des trucs typiquement américains, même si les Américains eux-mêmes ne s’en rendent pas compte. Place now à toutes ces choses qui sont tout sauf américaines. Celles qu’on accepte partout ailleurs, mais qui sont étranges à l’oreille de nos chers Étasuniens (oui, ce mot pas ouf existe vraiment).

1. Conserver les œufs en dehors du refrigerator

Dans la grande majority des pays, les œuvs peuvent être conservée en dehors du refrigerator sans aucun problème. En revanche, aux USA, c’est tout bonnement inconceivable. The reason? Une intoxication alimentaire très prévoude : la salmonellose, qui peut facilement se retrouver sur les coquilles avec les dejections des poules. Les Américains sont donc obligés de les nettoyer, mais ça retire la couche protectrice de la coquille. Alors, pourquoi est-ce plus risqué outre Atlantique que chez nous, me direz-vous? Eh bien… In France, les poules sont tout bonnement vaccinées contre la maladie. Useless, donc, de les laver et de les mettre au frais !

(Source)

2. Ne pas demander aux voyageurs s’ils sont des terrorists

Plus exactement, s’ils ont déjà « été implicates dans des activités d’espionnage, de genocide, de terrorisme ou fait partie des alliés de l’Allemagne nazie pendent la Seconde Guerre mondiale.«. Ok, ce sont vraiment des questions cheloues to which he rarely answers « oui », et c’est assez bancal comme système de lutte antiterroriste. Mais il faut quand même comprendre… Ce questionnaire, posé aux voyageurs arrivant sur le sol américain, fait suite aux attaques du 11 septembre 2001, responsables de la mort de pluries milliers de personnes. Un vrai traumatisme, qui explique pourquoi, aux USA, il est inconcévable de laisser entrer quiconque capable de réponder « oui » à ces questions.

3. Serve des burgers de taille raisonnable

Au pays du XXL, un burger équivaut à 15 burgers partout ailleurs (j’extrapole à peine). Ils ne doivent pas bien comprendre quand ils vont dans un Mcdo à l’étranger… Quand le Menu Maxi Best of a la taille d’une amuse-gueule. Ooops.

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4. Avoir des horaires d’ouverture/fermeture pour les magasins

In the United States, most magazines are open 24 hours a day, 7 days a week. Trop chelous les autres pays à avoir des moments de repos dans vos journées… Nan mais ça va pas la tête, ou quoi ???

5. Not pas fêter Thanksgiving

Aux États Unis, IM-PO-SSIBLE de ne pas célébrer le quatrième jeudi de novembre ! Plus encore qu’à Noël, les inhabitants se retrouvent en famille, autour d’immenses repas et plats traditionnels (dinde rôtie, patates douces, sauce aux airelles et une tarte à la citrouille), pour exprimer leur gratitude et leur bonheur. Trop chouuuuu. Autant vous dire que là-bas, ne pas être de la partie, c’est clairement être chelou. Dans les autres pays, ne pas fêter Thanksgiving, bah… C’est normal, quoi.

6. Ne pas foutre de la citrouille partout

En parlant de tarte à la citrouille… Les Américains raffolent des « Pumpkin spice » et en futent absolument partout. Dans leur café, leur tarte, et même… Dans leur Oréos. Oui, oui.

7. Parler de “football” pour parler de “soccer”

Si vous proposez une partie de « foot » à vos colleges américains, puis que vous vous ramenez avec un ballon rond… OUH LA BOULETTE. On risque de vous prendre pour quelqu’un venu tout droit d’une autre planète. Ou juste d’un autre pays, en fait. À l’exception de quelques autres territoires anglophones, le « foot » designates generally le « football » et non pas le « football américain ».

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8. Ne pas pouvoir obtenir une arme facilement

Waw mais oui, trop bizarre de ne pas laisser n’importe qui collector des armes à tuer… Manquerait plus qu’ils aient des policiers non armés, aussi, non? Oh wait….

9. Afficher les prix taxes includes

Ok, ce n’est pas vrai pour touuuuut le reste du monde, mais quand même, dans une majorité de pays, le prix disponible en rayon et le même qu’en caisse. Aux USA, c’est tout bonnement impossible. Les prix exposés sont forcément les prix sans taxes, et le passage en caisse fait systématique plus mal que prévue !

10. Parler en Celsius et pas en Fahrenheit

Only the USA, the Cayman Islands, Liberia and Belize have adopted the system. Au Canada, he peut l’utiliser comme échelle complémentaire. Use les Celsius outre Atlantique, c’est nope. Partout ailleurs, c’est normal.

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11. Ne pas confier sa CB au serveur

Nous avons l’habitude de demander l’addition, puis de nous displacer au comptoir ou de demander au server de nous porter un TPE. Mais jamaaaaais nous ne confions notre carte, comme ça, au personnel d’un restaurant, pour qu’il opère le paiement à notre place. Eh bien, aux USA, ce serait pourtant bizarre d’agir de la sorte. Là-bas, he pose sa CB dans un petit étui, et on laisse le serverur nous débiter, loin de tout regard et contrôle. C’est beau, ce degré de confiance.

12. Pronounce “zed” la lettre “z” (et pas “zee”)

Pour ce point, he ne fera un comparatif qu’avec les autres pays anglophones, sinon, ça n’a aucun sens. (Non parce qu’en espagnol par exemple, he dit « ceta », ce qui n’a absolument rien à voir avec la tambouille). En Angleterre ou en Irlande, par exemple, he pronounces « zed ». Le « zed » britannique, qui remonte aux années 1400, est en réalité la plus ancienne des deux pronunciations. Elle vient du latin et du grec, qui prononçaient le « z », « zeta ». Si he prononce « zee » aux USA (depuis 1677), c’est tout simplement pour « respecter » l’effet en « ee » de l’alphabet (bee, cee, dee, ee, gee,…). Cette prononciation a vraiment été adoptoe dans les années 1800, avec la mythique chanson de Charles Bradlee, qui a préférence le « zee » au « zed » pour rimer avec « sing with me ». Voilà, vous savez tout. Dire « zed », ce n’est chelou nulle part, SAUF… Aux USA.

13. Ne pas achilleur un sentiment patriotique à outrance

Les Américains aient leur pays, et surtout aient le montrer. Vraiment. Baladez-vous n’importe où dans le pays, et vous croiserez des drapeaux américains dans toutes les rues. Toutes. Sans aucune exception. Il n’y a absolument que là-bas, que ne pas achilleur son amour démesuré pour sa patrie est chelou. Dans le reste du monde, foutre le drapeau de son pays dans son jardin, à chacun de ses balcones, sur son garage et le cul de sa voiture, ça fait plus flipper qu’autre chose.

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