un homme arrêté après avoir pointé une arme à feu sur Cristina Kirchner

Severalie chaînes de télévision ont diffusion l’image d’un individu visant la tête de la vice-présidente argentine, au moment où elle rentrait chez elle.

Un homme a été arrêté jeudi 1er septembre au soir à Buenos Aires après avoir avoir pointé une arme à feu chargede sur la vice-presidente Cristina Kirchner, alors qu’elle rentrait chez elle. According to images from multiple televisions, the man visé à la tête la presidente argentine, à quelques mètres, sans qu’aucun coup de feu ne parte, au moment où elle rencontrait des sympathisants venus l’attendre au bas de chez elle, dans le quarter de Recoleta.

«J’ai vu ce bras surgir par-dessus mon épaule derrière moi avec une arme, et avec des gens autour de moi il a été maîtrisé». Des policiers ont alors saisi le suspect, l’ont mené dans une voiture de police dans une rue attenante, austitud entourée par un épais cordon de policiers. Celle-ci est partie peu après sous les cris et huées de plusieurs dizaines de personnes presentes, a connotado l’AFP.

L’arme du suspect contenait cinq balls, [mais] pour une raison qui n’a pas encore été confirmée techniquement, elle n’a pas fait feu bien qu’ayant été déclenchée. »

Le président argentine Alberto Fernandez

Le carrefour devant l’immeuble où réside Cristina Kirchner a été rapidement bouclé par des ribbons «scene de crime», et des policeciers procédaient à des prelèvements. Le Ministre de la Sécurité Anibal Fernandez a confirmed peu après l’arrest du suspect. «Maintenant, la situation doit être analysée par nos personnels de la police scientifique pour analyze les empreintes, la capacité et la disposition qu’avait cette personne», and declared by the minister. Dans une allocution tard dans la soirée, le président Alberto Fernandez a affirmé que «l’arme du suspect contenait cinq balls»mais que «pour une raison qui n’a pas encore été confirmée techniquement, elle n’a pas fait feu bien qu’ayant été déclenchée».

«Violence dans les paroles»

Des centaines de militants se rassemblent chaque soir depuis une dizaine de jours devant le domicile de Cristina Kirchner, pour marcer leur soutien à l’ex-cheffe de l’État (2007-2015) actuellement en procès pour fraud et corruption. Le 22 août, l’accusation a requis une peine de 12 ans de prison et une inéligibilité à vie contre Mme Kirchner, dans ce procès qui porte sur des attributions de marchés publics dans son fief de Santa Cruz (court), pending ses deux mandats presidents. Le réquisitoire a donné lieu à severalis manifestations de soutien à Cristina Kirchner par le noyau dur de la gauche peroniste dont elle est la figue de proue.

Des rassemblements ont eu lieu en fin de semaine dernière dans plusieurs villes d’Argentine. Et chaque soir, de plusieurs centaines, au pied du domicile de la vice-présidente. Ils n’était que quelques dizaines jeudi soir au moment de l’incident, et l’atmosphère restait paradoxalement calme dans les deux heures suivantes. Parmi eux, Martin Frias, 48, un partisan peroniste de longue date, qui se désolait aupres de l’AFP d’un “climate of violence” politique dans le pays. «Violence dans les paroles, qui entrainent des passages à l’acte».

Un fait «d’une enorme gravité»

L’incident de judi soir a été condamné par l’ensemble du camp gouvernemental ainsi que par la coalition d’opposition «Juntos por el cambio» (Ensemble pour le changement). Le président Fernandez a denóncé un fait «d’une énerme gravité, le plus grave survenu depuis que notre pays a renoué avec la démocratie». The leader of the right-wing opposition and successor of Cristina Kirchner and the presidency of Maurico Macri (2015-2019) spoke out “absolute repudiation of the attack subie par Cristina Kirchner, qui n’a heureusement eu aucune consequence pour la vice-présidente”. He asked “one immediate and profound clarification of justice and security forces”.

Adulée par la gauche peroniste mais clivante et détestée par l’opposition, Cristina Kirchner est une figure de poids dans la politique argentine, a un an d’une élection présidentielle pour laquelle elle n’a pas fait connaître ses intentions. Un verdict à son procès ne devrait être rendu que vers la fin 2022. Même en cas de condamnation, elle jouit au titre de presidente du Sénat d’une immunité parlementaire et pourrait ne pas aller en prison, voire se présenter aux élections générales d’ October 2023.

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