Volkswagen tourne une page avec l’arrivée d’Oliver Blume aux commandes

publié le jeudi 01 septembre 2022 à 10h23

Volkswagen entrusts its future to a new patron, Oliver Blume, charged with piloting the automobile giant in a difficult economic environment, after four years of the tumultuous mandate of Herbert Diess.

Produit maison rompu aux arcanes du groupe, le nouveau PDG n’arrive pas pour renverser la table : il devrait pursuivre les grandes lignes de la stratégie conducte par son prédécesseur — le virage vers la mobilité électrique et connectée.

“Nous avons fait les bons choix stratégiques et technologiques au sein du directoroire, autour de Herbert Diess”, a declarée jeudi M. Blume au quotidien local Braunschweiger Zeitung. “Maintenant arrive le temps de la mise en pratique” tout en assurant la “solidité financier”.

“Un des principaux points sera pour moi de rebâtir l’esprit d’équipe” au sein du groupe, he added.

Son prédécesseur a surtout dû son éviction, en juillet, aux tensions à répétition avec les représentants du personnel et l’équipe de direction, nourries par son style direct et provocative.

Pour autant, M. Blume arrives aux commandes à “un moment difficile” dans la vie du premier européen constructor, observes Matthias Schmidt, analyste spécialisé dans l’automobile électrique.

Le nouveau patron de 54 ans va devoir naviguer dans un contexte plus incertain que jamais avec la war en Ukraine et la persistence des pénuries de composants.

Il devra aussi mener cette année l’introduction en bourse de la filiale Porsche et rousseauder les difficulties qui slownessent le développement des softwares Volkswagen censés être le coeur de la voiture du futur.

La révolution électrique et connectée implies des dizaines de milliards d’euros d’investissement, alors que le groupe a disponible des résultats mitigés au deuxième trimester.

– Pas de “guerres” –

Pour succéder à l’Autrichien de 63 ans, les sharenaires principaux – la famille Porsche-Piëch – ont choisi un visage connu.

Arriving at VW in 2015, current CEO of Porsche, Oliver Blume is still living in Braunschweig, a few kilometers from the group’s historic headquarters in Wolfsburg (centre).

“Il y aura des changements, mais de manière relativemente douce”, résumé pour l’AFP Ferdinand Dudenhöffer, directeur du Center Automotive Research. “Blume n’est pas quelqu’un qui mène des guerres.”

Dans le détail, M. Blume pourrait se démarque sur la question des carburants synthétiques.

Fabrikis à partir notably de CO2 dans l’atmosphère en utilisant de l’électricité, ils permettent l’utilisation de motners traditionnels avec très peu d’émissions de CO2.

Herbert Diess avait fait le choix de tout miser sur les voitures à batterie, peu convincé par l’efficacyt des carburants synthétiques.

“Nous maintiendrons le rythme de la stratégie électrique, et aglécerons évoluntement” mais ces carburants sont “complémentaires” et ont certains “avantages” notably pour leur transport et la compatibilité avec des pompes à essence existinges, affirmed Oliver Blume.

“Volkswagen va s’élonger un petit peu de la stratégie du purely électrique” face aux risques d un virage trop radical, décrypte Ferdinand Dudenhöffer.

– Batteries maison –

Si l’utilisation de carburants synthétiques à grande échelle n’est “pas réalisable” en l’état, en parler permet d’imaginer un avenir pour le moteur à combustion, selon l’expert.

Le sujet, délicat, sera tranché à Bruxelles, qui planche actuellement sur une possible interdiction des voitures individuales neuves non-électriques à partir de 2035.

Oliver Blume pourrait peser pour une prolongation des motorisations utilisant les carburants alternatifs.

Au risque, à l’inverse, de ne pas pouvoir avancer “à fond” sur l’électrique comme Tesla, le competitor américain qui fait figure de pionnier, préviennent les experts.

Autre chantier pour M. Blume: les logiciels.

Alors qu’Herbert Diess souhaitait en tirer d’important profits en réalisant le coding en interne, son successeur pourrait d’avantage s’appuyer sur des suppliers.

Car “pour faire funcionaire les logiciels, il faut des codeurs et pas des ingénieurs automobiles”, summarizes M. Schmidt.

The new PDG should en revanche confirm the decision to concentrate more on the American market in order to limit dependence on China, y voyant jeudi “une marge de progression”.

La fabrication en interne des cellules de batteries, composante clé des voitures électriques, restera au coeur de la strategy.

Pour ses six projets de mega-usines européennes de batteries d’une capacité de 40 GWh each, et une aux États Unis, Volkswagen a created une entité dedicatede “PowerCo”, qui pourrait accueil des investors externes.

“Cela pourrait bien être l’héritage Diess, en plus d’avoir launched l’électrification après le scandale dieselgate” des moteurs truqués, selon M. Schmidt. A son successor de faire fructifier le leg.

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