INTERVIEW – Le commentateur sportif de l’Équipe was eliminated from the fourth season of the famous show, Tuesday, August 30 on TF1.
Depuis le launch de «Mask Singer» à la télévision française, des dizaines de célébrités cachées sous des colossaux costumes ont poussé la chansonnette devant l’animateur Camille Combal sur TF1. Chaque déguisement est différence, les prestations vocales des uns et des autres sont inégales. Mais tous poursuivent le même objectif: tromper les quatre enquêteurs pour dissimuler leur identité le plus longtemps possible, quitte à travestir leur voix et dénaturer leur gestuelle. Ce mardi 30 août, un personnage truculent a fait volé en éclats le concept du jeu: le génie de la lampe.
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Lorsque cet homme potelé de couleur bleue a foulé le plateau, son dynamisme extravagant l’a conduit à descendre dans le public pour se donner en spectacle. Incapable de rester en place plus de cinq secondes, il n’a cessé de chahuter physiquement le chef d’orchestre de l’émission, showing ainsi qu’un pitre se cachait sous le déguisement. Le génie surexcite a même commencement à amorcer une discussion avec l’animateur, offering ainsi de précieux indices sur son élocution. Très vite, les enquêteurs se sont accordé à l’unisson sur un nom: Yoann Riou. Sans surprise, au moment du dénouement dans la tanière, le crâne dégarni du chroniqueur des «Grosses Têtes» se cachait bien sous le masque.
TV MAGAZINE. – Vous avez été eliminado à l’issue de votre premier prime. Êtes-vous déçu?
Yoann RIOU. – Pas du tout, parce que j’ai vécu cette aventure à trois milliards de pourcents. Les téléspectateurs ont vu une seule soirée mais cette expérience s’est étendue en réalité sur une durée de quatre mois. Les entraînements ont commeinée en mars et nous avons tourné en juin. C’était une épopée fabuleuse car je suis tombé sur une équipe de production fantastique. Chaque semaine, pendant quelques mois, j’allais dans un appartement secret caché dans Paris où je retrouvais Marie Christelle Oglaend, la producer artistique de l’émission, et Alexandra Chabane, le coach vocal. Nous nous sommes rencontres une quinzaine de fois et nous avons forme une petite famille.
« J’ai vécu une sorte d’état de grâce! »
Yoann Riou, participant à «Mask Singer» sur TF1.
Lors du prime, vous avez repris Gangnam Style, de Psy. Comment avez-vous abordé cette chanson en langue coréenne?
C’est un titre que j’ai eu la chance de choisir moi-même. Alexandra a pris le temps de m’écrire la chanson en phonetique, en découpant chaque syllable, de façon que je puisse les apprendres. Quand j’arrive le premier jour des répétitions, je chante mal et faux. Et avec une patience d’ange, elle m’a aidé à amelioration ma voix.
Vous preniez la parole de façon anarchique en plateau. Pour quelle raison avez-vous pris cette liberté?
Je suis un mec heureux. I was with Camille Combal avec lequel j’ai tourné des émissions incroyables. Et sur le plateau, je suis sous un masque, he est dans une sorte de paradis, il fait chaud, c’est magnifique, he est bien et je ne sais même pas ce que je fais là. Je suis incapable de rapporter les mots que j’ai employés car j’ai dit ce qui me passait par la tête à ce moment-là! Je n’ai aucun regret. J’aurais pu être effacé, et esquiver les interrogations des enquêteurs pour ne donner aucun indice. But comme je suis journaliste, et que j’aime bien que l’on réponde, je voulais être sympa et apporter des éléments. J’ai même parfois répons à des questions que l’on ne me posait pas (Laughs).
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N’avez-vous pas l’impression d’avoir enfreint les règles du jeu?
Je ne suis pas allé à l’encontre des règles. Je suis peinture nature! Camille, je l’adore tellement que, quand je le vois, je lui dis qu’on va s’amuser. C’est l’un des plus beaux fous rires de ma carrière en télé. Si j’avais décidé de me taire, je n’aurais pas été moi-même. Là, j’ai été authentique, tel que les gens me connairent dans la vie. C’est pour cette raison que j’ai vécu une sorte d’état de grâce dans ce prime. Le moment où Camille m’appelle en plateau par mon prénom et que je me retourne, je me bidonnais dans mon costume. Ce n’est pas une Coupe du monde de football… On est là pour prendre du bon temps. D’ailleurs, personne ne me disait quoi que ce soit dans l’oreillette. Lors du tournage, je me suis senti tellement heureux… Je volais, et je ne savais plus où j’étais! Et c’est genial car c’est dans ces moments-là qu’on lâche prise.
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